La procrastination dans toute sa bassesse

Il faut du temps avant que je laisse entrer les choses. Particulièrement des grandes changements d’environnements. Alors, quand je suis arrivée à l’aréoport Charles de Gaulle, j’étais trop dans le déni pour vraiment avoir des pensées initiales. J’ai utilisé le Wifi gratuit pour trente minutes pour dire à mes parents et aux amis que je suis arrivée saine et sauve et puis est allée envers la station de Métro.

Ce qui me souviens plus, c’est les heures avant mon départ. Probablement parce que je voulais vraiment apprécié ces derniers moments avec ma famille et mes amis. Et par ça je veux dire qu’en ce moment je savais que bientôt je ne les voyerais pas pour trois mois! De plus, j’ai apprise une leçon cette soirée.

La journée avant mon départ, ma mère a arrangé un barbecue chez nous. J’ai invité quelques-uns de mes meilleurs amis et on a mangé la nourriture délicieuse de ma mère. Après le diner, mes amis sont restés la nuit pour m’aider à faire mes valises. Puisque, naturellement, j’ai attendu jusqu’au dernière minute pour le faire. J’avais acheté un très beau sac à dos, North Face pour mon voyage et avais très hâte d’utiliser. Sachez que, pour une fille, je n’apporte pas beaucoup de choses quand je voyage. De plus, je voulais laisser de l’espace pour rapporter des souvenirs. MAIS, ce sac de North Face ne pouvais même pas détenir un demi de mes choses. Je suis entrée en mode panique. C’était cinq heures du matin et ne savais pas quoi faire.

À mon soulagement, mes amis m’ont aidé a rester calme. Et j’avais dû apporter même moins de vêtements et apporter une petite valise. Je sais que voyager à travers Europe n’est pas idéal, mais chaque fois que je rencontre de problèmes, ça va être une rappel de jamais attendre jusqu’au dernière minute pour faire de choses importants.

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