pour mieux comprendre moi-même

Quand j’avais 10 ans, ou peut-être 11 ans, je ne souviens plus, j’avais une conversation avec mes parents sur langue de l’amour. Gary Chapman a écrit un livre sûr des exprimations de l’amour. Son livre s’appellait The 5 Love Languages. Mes parents m’ont expliqué que l’amour se manifeste en 5 options: les cadeaux, le contact physique, le bon temps, les mots de l’affirmation et les actes de service. En ce temps là, on devrait lire le livre, réfléchir, puis choisir les deux ou trois qui résonnent avec sa propre vie. On a decidé que mes deux préférés sont le bon temps et les actes de service. Maintenant, on peut simplement aller sur l’internet et répondre aux quelques questions et, *poof*, c’est clair quels sont vos langue de l’amour.

Mes parents m’ont expliqué que c’est important de savoir le plus que possible sur soi-même. On peut donc mieux comprendre ses  réactions, parfois excessives, à une situation particulière. Il peut y avoir des moments où je réagis trop à cause de la façon dont je l’interprète une action ou un mot. Par exemple, récemment, une amie m’a proposé de m’aider quand j’en ai eu vraiment besoin. Elle a ensuite, au moment où elle devait arriver, m’envoyé un texto pour dire qu’elle ne venait plus pour aider. Pour beaucoup de gens, ma colère et ma frustration étaient une réaction excessive. Mais parce que je vois des actes de service comme une effusion ou l’exemple de l’amour, je me sentais très mal aimée quand mon ami a révoqué son offre de m’aider. Par conséquent, je dois réfléchir et me souvenir que ma réaction est pas logique, mais elle aune racine. En réfléchissant sur l’effet de mon langage de l’amour a sur ma réaction, je suis mieux en mesure d’expliquer pourquoi ses actions me font mal dans la mesure où ils l’ont fait.

Mes parents sont des gens intelligents pour être si jeunes (ma mère a 46 et mon père a 41).

L’église n’est pas un batiment, mais des gens

J’ai une relationtrès positive avec ma mère et mon père. Ma mère vit à Langley et mon père vit à Edmonton. Je parle avec mon père à peu près une fois par semaine, d’habitude sur FaceTime, mais quelquefois au téléphone. Je parle avec ma mère au moins tout les deux jours. Quand j’ai parlé avec ma mère aujourd’hui, on a discuté du rôle de notre église a eu dans mon enfance.

J’ai deux frères. Ils ont 8 et 10 ans de moins que moi. L’impact de la religion pour eux est différente que moi. Quand ma mère avait 18 ans, elle est devenue enceinte de moi. Elle n’a pas de mari et ses parents sont des gens riches dans notre église tellement conservatrice. Quand il a commencé à devenir clair que ma mère était enceinte, elle a décidé que si quelqu’un l’avait regardée avec jugement, elle aurait abandonné l’église sans jamais regarder en arrière. Au lieu de cela, elle a été accueillie à bras ouverts. Mon fête de bébé était le plus assisté à l’église. La congrégation s’est réunie pour soutenir ma mère et sa décision de me élever. Alors, il est clair que j’ai grandi dans un milieu sain et inspirant.

la puissance du son

Il est intéressant que les experts soient sûrs que notre mémoire est étroitement liée à notre sens de l’odorant. Pour moi, le lien est le plus fort avec mon sens de son – en particulier la musique. Je crois que c’est grâce à ma mère. Elle était professeur de piano quand j’étais petite. Quand elle était enceinte, elle avait mis la musique de David Foster, particulièrement Winter Games, quand je serais un coup à maman. Je ne sais pourquoi, mais j’immédiatement arrêta. Maman et ma mémé m’avaient dit que quand je criais, elles ont joué cette chanson et j’arrêtais de pleurer. Même aujourd’hui, quand j’ai trouvé la chanson pour ce poste, au moment où la chanson commence, un sourire est apparu sur mon visage.

Mais les chansons ne me rappellent pas seulement des moments positifs et heureux. Par exemple, j’ai écrit un poste sur mon autre blog où j’explique qu’une chanson magnifique a été entachée par une expérience traumatisante. Mais aussi, je peux penser des choses fantastique grâce à une autre chanson. Un exemple est la chanson “Uptown Funk”.

Quand mes colocataires et moi avons déménagées dans notre nouvelle maison, on a dansé sur cette chanson en train de déballer nos affaires. C’est un moment très important pour moi. Et maintenant, chaque fois que je l’entends, je pense à nos mouvements de danse stupides en riant.

 

 

et ça commence

Pendant cette fin du semaine, j’ai trop fait. Comme d’habitude.

J’ai une mauvaise habitude. Je prends mon calendrier et plusieurs crayons de couleur (l’orange pour ce cours, le rose pour ma vie personnelle, le rouge pour mon boulot, etc) et je remplis chaque seconde de chaque jour avec un couleur. En un weekend, je réussies à prendre un café avec plusieurs amis, faire la cuisine avec mon ami, enseigner des enfants à mon église, sortir pour la fête de ma mère avec toute la famille, aider ma colocataire de faire une délicieuse collation pour son travail, et d’autres choses. C’est à dire, je fais trop. C’est un peu un problème pour quelques raison. D’abord, j’ai des devoirs maintenant et pas de temps de les faire. En suite, je suis introvertie. J’ai besoin de temps pour moi pour être seul. Je planifie rarement du temps seul. D’habitude, j’attends la fin du semaine pour un moment où il n’y a pas trop à faire.

Mais je devrais commencer de me mettre plus haut sur ma liste des priorités. Je dois planifier une longue course le long de seawall. Je dois planifier une demi-heure exclusivement pour regarder The Mindy Project. Je dois trouver des choses qui me donne du bonheur et trouver le temps de les faire.

C’est un travail en cours. Je suis un travail en cours.

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le premier jour

Hier, j’ai commencé mon premier jour à la fac. Pour le 6e fois à l’université. Pour le 19e fois dans ma vie.

Quand j’avais 5 ans, j’étais dans la voiture avec ma mère en train d’aller à l’école primaire pour mon premier jour d’école. Comme d’habitude, on était en retard. Maman filait pour être l’heure, mais on est été arrêter la police en route. Comme d’habitude, j’ai commencé de pleurer. Je pleurais tellement dur, le policier pouvait à peine être entendu. Maman se sentait horrible et le policier a rapidement réalisé qu’il n’a pas besoin de donner ma mère une amende – elle avait appris sa leçon. J’ai aussi appris une leçon – toujours être à l’heure. Mais si vous n’êtes pas, il suffit de commencer à pleurer. D’habitude, ça marche.

J’adore la premier jour d’école. Il n’y a pas de devoirs, seulement de nouvelles idées, de nouveaux gens, de nouveaux cahiers. Hier était mon dernier premier jour à la fac de mon diplôme. Comprendre cela est difficile pour moi. Je suis le genre de personne qui a toujours quelque chose a faire.

Cet été, j’ai aidé mon entreprise à ouvrir deux cafés comme leur directeur de la formation. En même temps, j’ai aussi travaillé au Koerner’s Pub et terminé un cours sur la littérature dystopique adolescente. C’était un de mes étés plus occupés. Et, la chose qui était la plus difficile d’adapter est d’avoir un petit ami, un copain, un amoureux (comme vous voulez), pour la premiere fois en trois ans. Comme j’ai dit, j’ai toujours quelque chose a faire.

Cet année, je vais lire tous les livres; je vais plus courir; je vais dormir plus (plus que 4hrs comme hier); je vais boire plus de thé et moins de café; je vais faire la cuisine plus et manger moins aux restaurants; je vais regarder plus d’émissions et mois de films (ils sont trop longs).

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