Les mêmes mais différents

13 juin 2016. Dans une brasserie à cote de la place Bellecour j’avais  une chance à rencontre trois gars d’Odessa, en Ukraine. Des supporteurs typiques d’Euros. Riant, bruyant, et ivres. La langue russe, les visages slaves et les drapeaux ukrainiens les faisaient distingués des supporteurs irlandais portaient vert et chantaient «Sweet Caroline. » Quelques bières plus tard, je les ai expliqués que j’avais voulu de regarder le match du foot entre l’Ukraine et l’Irlande du Nord depuis je suis arrivé en France. Maksim, l’Odessite de même âge que moi, a arrêté boire et m’a demandé,

« J’ai un de plus. T’en veux? »

Je n’hésitais pas de tout et après quelque minute j’étais comme le Charlie au début de Charlie et la Chocolaterie. J’étais  prêt pour mon nouvelle aventure avec le billet d’or dans ma main.

Beaucoup de membres de ma famille étaient nés en Ukraine. Même ma ville d’origine, Rostov sur le Don, est située moins que vingt kilomètres de la frontière. En plus, j’avais des chances d’avoir beaucoup des amis d’origines ukrainien au Canada. En fait, même à mon université j’ai grandes amis des anciennes républiques soviétiques. Ils sont des Russes, des Ukrainiens, des Kazakhs, des Belarusses, des Uzbeks. Ces amitiés sont créées en grand partie par la langue et la culture communes. Les différences entres les passeports, les drapeaux, ou des hymnes nationales n’ont aucune importance pour nous.

Je n’ai pas pensé du tout que je serais un étranger dans le match. Je croyais vraiment que je appartiens aves les ukrainiens. Ce mon peuple!

Mon expérience le jour du match avec les ukrainiens était imprévue. Tout est commencé avec les signes du nationalisme en route au stade quand mes amis d’Odessa, les autres supporteurs et moi marchions à Port Dieu. Les cris, “Allez Ukraine, » étaient amusants. Les chants ukrainiens étaient un peu difficiles à comprendre. Puis, l’hymne national, que je n’ai jamais entendu, m’a fait se sentir un peu déplacé. L’hymne ukrainien, que la foule a chanté avant de la mairie de Lyon, a montré que les gens n’y étaient pas pour seul le foot.

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Ces manifestations particulières du patriotisme ne m’ont  faisant pas se sentir mal à l’aise. Mais il y avait des autres sortes là. Au stade j’ai attendu beaucoup de chants et insultes racistes et antisémitiques. Au sujet des russes particulièrement. Au temps je me suis demandé pourquoi j’étais là.

Curieusement, j’ai vu le nationalisme ukrainien plus traditionnel aussi.  J’ai parlé avec un homme d’âge mur qui a trouvé très drôle que la Russie et l’Ukraine ont perdu leurs matches au même jour.

« C’est parce que nous somme frères slaves.  Le grand frère. Le petit frère. » m’a-t-il dit avec le sourire.

Ce jour-là j’ai trouvé les ukrainiens qui veulent vraiment une propre identité nationale claire mais qui ne savaient pas comment la trouver. Tout le monde a les stratégies différentes pour l’établir. Il y’a des gens qui veulent montrer les caractéristiques uniques de leur cultures comme la langue ou les chansons folklorique. Il y a les autres pour lesquelles la haine et le racisme est une méthode pour se distinguer comme un peuple différent. Il y a aussi quelques  qui préfèrent d’avoir la mentalité  de l’ancienne système. J’avais pensé que j’ai bien connu les Ukrainiens. Peut-être pas. Il me semble maintenant qu’ils ne se comprennent non plus.

 

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