semaine 12

le 26 mars : Marie Darrieussecq, Truismes
→ 
cours magistral : pp. 82-111

le 28 mars : Marie Darrieussecq, Truismes
→ cours magistral : pp. 111-49

LECTURES À FAIRE CETTE SEMAINE : Truismes, jusqu’à la fin

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(2) une réflexion sur les lectures
→ au moins une, avant la fin de la semaine

4 thoughts on “semaine 12

  1. Alex

    Nous avons discuté en classe qu’un des thèmes clés dans Truismes est l’identité. Je me suis mise à penser à l’histoire du personnage principale et je me demande si toute la transformation en cochon est en fait la transformation ou la période entre l’enfance et l’âge adulte? En effet, ce sont les adolescents/jeunes adultes qui se questionnent sur leurs identités, leurs corps changent pour un jour être capable d’avoir des enfants, et c’est aussi une période où les gens expérimentent avec la sexualité. Ca ressemble beaucoup au parcours de la jeune femme dans Truismes je trouve. A la fin du roman, le personnage semble serein avec son sort. Elle est plus confortable avec elle-même et qui elle est puisqu’elle a accepté son identité. Ceci est sans doute le sentiment que les adultes plus mures ont envers qui ils sont.

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  2. Napoleon

    C’est bizarre a pensé qu’un cochon peut être plus heureux qu’une être-humaine. Mais c’est vrais, les cochons n’existe pas en s’occupant de ce que pense les autres. Ils ne sont pas défini selon quoi pense les autres. Le perception et le nivaux de bonheur des être-humaines est souvent controlé par leurs amis, parents, supérieurs, famille etc… La personnage, en temps qu’elle est plutot humaine que cochons, est heureux selon qu’il y a quelqu’un pour lui apprécié.

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  3. Helena Fisher-Welsh

    Cet histoire m’a rappelé de trois autres (profondément): Jacob’s Room, par Virginia Woolf, dans ce “stream- of-consciousness” genre d’écriture, L’Etranger, par Albert Camus, dans ce descriptions simpliste de vie jour-par-jour, qui a rapidement dégénérer en folie, et, bien sûr, Ionesco’s Rhinocéros!–qui j’ai eu la chance de voir récemment–la différence majeur étant que le personnage principal ne semble pas résister à leur transformation, à la fin. Quel bizarre!

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  4. OO

    Je ne pensais pas qu’elle change en un cochon! En fait, j’ai cru qu’elle était enceinte aussi. Pourquoi est-ce qu’elle ne panique pas beaucoup? Je pense que la plupart du temps, elle est capable de rester calme.

    Je suis très surprise par la manière dont les hommes traitaient les femmes dans le roman! Au lieu de lui être “un animal” j’avais l’impression les hommes l’étaient (en particulier Edgar).

    C’était drôle à lire sur Yvan et sa vie! Comment se fait-il que les gens ne réagissent pas bien quand ils les voient à la ville. En outre, la fin était tout à fait choquant. Je ne m’attendais pas du protagoniste de tuer quelqu’un.

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