Version courte:
- le 15 janvier – Lettres…, pp. 273-95
→ les notes du cours (à venir) - le 17 janvier – Lettres…, pp. 295-316
→ les notes du cours pour aujourd’hui et le cours de mardi prochain
COMMENTAIRES SUR LE BLOG:
(1) posez une question sur les lectures de cette semaine
→ au moins avant le cours de jeudi
(2) faites un commentaire sur le(s) cours magistral
→ au moins un commentaire, après le cours de jeudi
(3) une réflexion sur les lectures
→ au moins une, avant la fin de la semaine
Les ressources en ligne cette semaine:
- les Lettres… en ligne: trois éditions du 18e et une de 1802 dans le collection numérisée de la Bibliothèque nationale de France
- SATORBASE (outil de la Société d’analyse de la topique romanesque): les catégories et les topoï
- L’Encyclopédie, ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers:
le projet ARTFL
une autre mise en ligne, avec de belles images de planches
Ajoutez vos questions et vos commentaires en-dessous. NB: utilisez juste votre prénom, ou un nom de plume (mais partagez votre pseudonyme avec votre prof afin de recevoir une note…)
Version longue:
(1) À partir de vos lectures cette semaine, formulez et posez une question—longue ou courte, simple ou compliquée—qui vous semble rusée, perspicace, et raisonnable à demander dans un examen
(pour avoir une bonne note, faites-le avant chaque cours; sinon, au moins une fois par semaine)
→ Ces questions seront utilisées pour formuler les sujets de dissertation qu’on aura à la fin de nos lectures de chaque livre.
(2) Un commentaire à propos du cours magistral: demandez une question et/ou faites une observation
(au moins une fois par semaine)
(3) Écrivez une réflexion sur les lectures de la semaine – quelques lignes, un paragraphe
C’est à dire : un mini-commentaire : une réaction, et l’essai d’analyser cette réaction. Léger ou profond – quelque chose qui vous a frappé, qui vous a surpris, plu, ému – quelque chose que vous croyez n’avoir pas compris, ou avoir mal compris, mais qui vous paraît important – une comparaison avec le film, ou avec un autre livre ou d’autres connaissances – à vous de voir : l’important c’est que ce soit votre propre réaction individuelle. Ce que je note, surtout pendant les premières semaines du cours, c’est le fait de s’engager dans le texte.
(au moins une fois par semaine, avant la fin de la semaine)
→ Ces questions et ces réactions contribueront aux discussions pendant le cours, ainsi qu’aux travaux écrits du genre “atelier d’écriture.” Ils peuvent aussi contribuer à votre portfolio d’écriture.
ET PUIS ?
- Vous pouvez bien sûr formuler autant de questions que vous voulez, et continuer à écrire des commentaires sur vos lectures, si bon vous semble.
- Vous pouvez aussi discuter, continuer, élaborer, élargir, répondre, … en ajoutant un “commentaire” à un “poste” qui y est déjà (le vôtre ou d’autrui).
Image en haut: Madame de Graffigny, Lettres d’une peruvienne. Nouvelle edition augmentée de plusieurs lettres, et d’une introduction à l’histoire (Paris : Chez Duchesne Libraire …, 1752). Beinecke call number: 1998 1243.
c/o le blog Early Modern at the Beinecke, Curator’s Highlights. “Early Modern at the Beinecke features information on the British and European manuscript and print holdings, 1500-1800, of Yale University’s Beinecke Rare Book and Manuscript Library.”
Pour d’autres images de cette édition, voir ici.
Pour la politique de droit d’auteur, voir ici.
Apres ma lecture, je commence a me demander la raison pour laquelle on a capturer la jeune peruvienne. Est ce pour l’exiber devant des nobles francais ou pour l’utiliser comme femme pour le Cacique? Quels sont les motifs et les buts de son enlevement?
Moi aussi, je me demande la même question que Nelly. J’ai aussi remarqué que je trouve les lettres d’amour un peu embêtant quand Zilia explique seulement ses sentiments envers Aza et les “barbares” et n’a rien d’importance à ajouter aux évènements qui déroule. Cependant je trouve l’histoire très intéressante les lettres contient d’information de son aventure. Le fait qu’on lit seulement du perspective de Zilia me rend un peu frustré car je veux savoir les sentiments d’Aza et de sa vie. A ce point-ci c’est possible qu’Aza n’est pas vraiment amoureuse pour Zilia ou même n’existe pas!
Pourquoi Zilia ne se reconnait pas quand elle se vois dans le miroir? Est-ce qu’il n’y avait pas des miroirs au Pérou ? Et sinon, pourquoi elle n’a jamais vue sa réflexion dans l’eau ? C’est une erreur d’auteur ? Mais aussi, qu’est-ce que ça signifie ? Parce qu’elle dit après « quoique je dusse être accoutumée à ses effets, je ne pus encore me garantir de la surprise en me voyant comme si j’étais vis-à-vis de moi-même. » (283) Il me semble que le miroir signifie quelque chose d’important, mais je ne sais pas exactement ce que c’est.
Les miroirs : rappelez-moi de vous expliquer un peu leur histoire, jeudi prochain.
Qu’est-ce que Zilia fait pendant tous les jours? Elle écrit principalment de ses sentiments envers les autres personnes et pas d’autre choses qui se passent.
C’est comme dans les feuilletons à la télé : pensez “Friends” et “Beverley Hills 90210”: que se passe-t-il pendant la journée?
Je voudrais aussi demander: qui est Aza ? T-elle jamais le revoir ?
Je me suis demandé la même question que Yoda”Pourquoi Zilia ne se reconnait pas quand elle se vois dans le miroir? “elle a évidemment vécu dans un endroit développé si elle sait au moins écrire, mais comment est-ce possible qu?elle ne s?est jamais vue dans un miroir.
Au début, je n’aimais pas trop lire les lettres parce que je trouvais qu’elles étaient trop émotives. Mais maintenant que Zilia est en Europe elle qu’elle fait des commentaires sur la culture en France, l’histoire me captive plus. Par exemple, à la page 304 elle décrit le commerce et explique qu’ “une partie du peuple est obligée, pour vivre, de s’en rapporter à l’humanité des autres”. Elle a vite remarqué les conséquences sociales du system industriel capitaliste. Très intéressant!
Question sur les lectures:
J’aimerai bien demander à Déterville ses intention envers Zilia. Est-ce qu’il est amoureux d’elle? Ou c’est seulement sa bonne nature qui lui permet de se soucier de Zilia avec telle tendresse ?
Réflexion sur les lectures:
Je trouve que les “Lettres d’une Peruvienne” est une œuvre très perspicace comme commentaire sur la vie des femmes dans la culture européenne. Zilia nous démontre le cas d’une femme passive, enprisonnée par des hommes étrangers. Lentement, elle s’apprend comment observer, et s’exprimer, surtout elle découvre sa propre valeur. Sa realization d’elle meme comme objet de valeur est bien démontrée à la page 280 quand elle s’aperçoit dans un mirroir. C’est démontré de nouveau quand elle s’exprime contre le mec qui a touché à sa gorge. Évidemment, elle devient de plus en plus consciente d’elle-même et elle commence à s’exprimer. Cela prédit le mouvement féministe du 20ième siècle, surtout avec le préoccupation au sujet de sa libre expression individuelle.
Aha! Gardez ces questions à l’esprit, on en reparlera mardi…
À la page 295, lettre XVI, Zilia raconte la manière dont elle apprend à écrire. “Cela ce fait en traçant avec une plume de petites figures qu’on appelle lettres, sur une matière blanche et mince que l’on nomme papier […]”. Je me demande comment elle avait écrit toutes les lettres précédents si elle ne savait pas comment écrire…
Comment est-ce que Zilia écrit ces lettres à Aza? car à la page 295 elle semble être confus de ce qui est une plume, une lettre et du papier alors comment est-ce qu’elle communique ses pensées avec lui.
voici les indications de pages à propos des écrits de Zilia d’avant: p. 258 (et l’hasard / la bonne fortune) : Zilia est en train de travailler avec ses quipos “lorsqu’un bruit confus réveilla mes esprits”, elle se cache derrière un autel (259) mais est prise par les Espagnols, mais “je ne sais par quel heureux hasard j’ai conservé mes _quipos_ […] le seul trésor […] (260).
On vous donne quelques indications sur ce que sont les quipos (258, 260), aussi dans l’Introduction (p. 255): notons que cette partie-ci et l’Avertissement font partie du roman (voir notes des semaines 1-2).
Voir aussi la Wikipédia… et le MOA de UBC !
Oups, je viens d’apprendre qu’est ce qui est un quipo
Il me semble que la transition d’ultilisé une plume et du papier au lieu des quipos, marque son intégration dans le monde français et l’éloignement de sa vie en Péru. Je me demande si son amour pour Aza va la restreindre de jamais complètement engager dans sa vie en France.
Pourquoi est-ce que c’était si populaire pour les auteurs de cet siècle de critiquer la religion. Cela me semble un peu tabou…
Aha… une des questions à $10.000… On verra mardi quelques réponses à votre première question ; et oui, c’était taboo à l’époque, et maintenant aussi (peut-être, et à débattre ou a rebattre… ). Quelques questions supplémentaires :
La critique de la religion, est-ce un grand thème classique, qui revient toujours ?
Ou une question de mode : à la mode (à Athènes avec Socrate – en France en 1747 – et puis en 2013) ? Une critique pressante, qui fait partie de critiques contre un régime oppressif : où le pouvoir politique (royauté + noblesse) est “de droit divin”, avec le soutient du pouvoir / des autorités religieuses ; et où le pouvoir politiqe et le pouvoir religieux sont fortement liés (on en reparlera mardi prochain, à propos de l’idée de Montesquieu de la séparation des pouvoirs).
Ou est-ce que ce genre de discussion (et de polémique) est démodé, vieux jeu, on en a assez ? sans réponse et donc la discussion ne sert à rien ? ou les réponses sont-elles toujours évidentes (pour les pro- et les anti-), et on ne réussira jamais à convaincre personne avec des critiques de la religion (et, de l’autre côté, sermonner)–c’est une perte de temps, on prêche des convaincus ou on agace les autres …
Plus que Zilia habite avec Deterville et sa sœur elle pense « qu’il[s] [sont] né[s] du sang des Incas. » Il me semble que l’auteure nous raconte que tous les cultures ont des principes similaires, qui ont seulement claire quand on vraiment connaitre des personnages dans ces cultures. Mais la juxtaposition de la culture française vois au travers des yeux d’une Péruvienne est vraiment intéressante.
Hier nous avions parlé du style d’écriture et comment Zilia raconte les évènements scientifique. Des fois je trouve ça naïveté du monde très ironique. Par exemple, dans le couvent elle ne comprend pas les raisons pour lesquelles elle est là et traite son temps là avec une certaine passivité. Zilia l’observe sans savoir comment elle devrais agir. C’est ironique parce qu’elle nous explique comment Céline sens et nous comme lecteurs peuvent comprendre pourquoi Céline est si fâché. Cependant Zilia ne voit pas pourquoi Céline refuse d’apprendre.
une question: Je n’ai pas compris avant hier que “L’espace blanc” à la page 299 était supposé d’expliqué que beaucoup de temps avait passé entre les deux lettres. Dans notre copie du roman c’est simplement un petit espace qu’on trouve après chaque lettre. Est-il une plus veille version de ce roman qui a un plus grand espace blanc pour que les lecteurs puissent comprendre cela?
@Aubrey: clarification: oui, vous avez bien raison, c’est le même espace blanc après chaque lettre, et vous verrez que c’est la même chose dans les éditions du 18e (voir “les _Lettres_ en ligne”, liens dans le poste/billet en haut).
Ce que je voulais dire, c’est que dans ce texte (et c’est souvant le cas dans les romans), ce qui est dit et écrit est (bien sûr) important : pas seulement ce qui est dit directement, mais aussi ce qui est impliqué, en lisant entre les lignes. Et aussi ce qui n’est pas dit, et ces espaces vides, les blancs dans le texte: ex. ici, ce qui se passe entre la fin de la lettre XVII et le début de la lettres XVIII, y compris le temps qui passe.
Dans les _Lettres…_ le temps passe à des vitesses différentes et avec des degrés de précision qui varient ; et il y a des absences (Zilia utilise elle-même le terme avec un sens multiple: ex. pp. 299, 315), des trous (mot technique: “une lacune – des lacunes”) qui varient eux aussi: un grand trou entre XVII et XVIII (et sa reprise avec le “combien de temps effacé de ma vie […] que cette double absence m’a parue longue”, p. 299), puis un enchaînement plus rapide XVIII-XIX-XX.
Que font ces variations? Bon, souvent c’est pour retenir l’attention du lecteur: si on avait exactement une journée par lettre, si les lettres étaient de longueur égale, des “et puis…” : cela devient vite ennuyeux. On ajoute donc un effet de variété, et la possibilité de suprise.
Mais il peut y avoir un lien entre, d’un côté, le passage du temps et sa représentation (surtout la perception de la temporalité), et d’un autre côté l’action et le drame intérieur. L’exemple de la fin de la lettre XVII: le grand gouffre qui s’ouvre, la déprime, la possibilité de la mort (et la mort très réelle de l’écriture). Un autre exemple: “que les jours sont longs quand on les compte” (lettre IX, p. 277). La représentation du temps peut jouer un rôle littéraire, tout comme le temps (la pluie, les tempêtes) et la lumière (plein d’exemples dans ce roman ; lumière, sombre, etc.)
Pour être honnête, je n’ai pas aimé la lecture d’hier! J’étais confus et ne pas comprendre les niveaux différents du professeur essayait d’analyser. Je voudrais parler davantage de ce qui se passe dans l’histoire et le développement de l’intrigue prochaine lecture. Peut-être que c’est juste mes pensées…
@22: ne vous inquiétez pas, la semaine prochaine on parlera davantage (et plus lentement, et avec la lecture de près de cas précis) de ces niveaux / couches de lecture 🙂
J’ai pu identifier beaucoup avec Zilia dans ces lettres. Je me suis senti très en colère quand Deterville disait a Zilia qu’il l’aimait. Je pensais que c’était très injuste de lui mettre dans cette position d’avoir à choisir entre son amour pour Aza et lui. Je pense que Déterville ne pas comprendre le point de vue de Zilia et ne comprend pas qu’elle est essentiellement un «prisonnier» dans un pays étranger. Son amour pour Aza est admirable et respectable, mais serait-il pas difficile d’aimer quelqu’un qui vous n’avez pas appris à aimer librement? J’ai sympathisé avec elle beaucoup à la lecture de cette semaine.
Je pense que les actions de Déterville étaient tout à fait raisonnables. Voyons l’introspection de Zilia. À chaque lettre prèsque elle se vante du valeur de la peine et de toutes sortes de choses negatives – s’ils sont pour l’amour. Elle dit que toutes les souffrances valent la peine si ça lui rapproche de ce qu’on aime. Alors, peut on blâmer Déterville, qui essaie n’importe quoi pour trouver un amour réciproqué en Zilia? Même s’il la rende prisonnière, il la libère aussi en s’arrangeant et payant pour son éducation. La Zilia du début du livre disait que sa sexe était “condamné à resté dans l’ignorance” et qu’elle voulait soumir complètement à Aza. Ici elle n’a pas complètement soumise à Déterville et elle pense pour elle même. Déterville était en position pour forcer sa main et pour la violer s’il voulait, mais il voulait avoir son amour consenté, et ceci m’est raisonnable.
Zilia écrit-t-elle à Aza l’Inca et fiancé, ou bien à Aza confidant imaginaire qui confirme sa point de vue idéaliste concernant l’amour et le vertu?
et aussi Pourquoi n’est Zilia pas plus surprise quand elle apprend finalement des intentions de Déterville?
À propos des cours cette semaine, je ne vois pas vraiment c’est observation que Zilia réfère à Aza de moins en moins au long de son séjour en France. Il y a quand même un ou plusieurs références à vouloir réunir chaque lettre et quand on voit moins il y aura plus la prochaine. Je vois par contre un changement de ce qu’Aza réprésente à Zilia – moins un réprésentant masculin idéal du Soleil et du vertue et plutôt un vaisseau recevant ses pensées.
@Chengyan : À propos des références diminuantes à Aza : on testera l’hypothèse en cours jeudi, pour voir si–en regardant toutes les preuves du texte–l’hypothèse est possible, impossible, ou improuvable. Très scientifique, très 18e siècle…
Merci pour vos commentaires sur le blog, que je suis en train de lire : tout est intéressant et intelligent, je vous encourage à continuer de même train. J’y vois déjà un bel engagement dans la lecture, et j’espère que le travail qu’on fera en classe la semaine prochaine répondra à quelques-unes de vos questions les plus brûlantes.
La semaine prochaine, la parole sera pour la plupart à vous: https://blogs.ubc.ca/fren221/2013/01/17/blog-semaine-4/
Un truc qui pourrait vous aider (et ceci pour les autres textes du cours) : lisez avec un ordinateur ou autre outil de recherche en ligne à côté de vous : gardez des fenêtres ouvertes afin d’y faire directement la recherche de mots inconnus/méconnus (voir lien ci=dessus pour les dictionnaires) ; et pour les objets, idées, etc. cherchez dans la Wikipédia version française (et aussi le “Grand Robert”: pour ces deux-ci, lien ci-dessus).
Si vous n’avez pas la possibilité de faire ces recherches en ligne directement en même temps que la lecture (ex. vous lisez sur le bus) : notez les expressions à rechercher (soulignez dans le roman, ajoutez-y un “sticky”, faites de notes dans un petit carnet, etc.) et faites vos recherches à la bibliothèque de UBC.
Pour le travail en classe de jeudi, je vous demande non seulement de lire les pages pour ce jour-là, mais de relire (rapidement) tout le roman. Je vous répartirai en groupes de 2-3 pour ce cours-là ; chaque groupe travaillera sur environ 5 lettres.
Bien à vous, et bonne continuation dans vos lectures et votre écriture … la semaine prochaine, ce sera la semaine de la liberté : y compris la vôtre, votre libération de la voix (et de la voie à sens restreint) du cours magistral (=”lecture” en anglais), et je m’attends avec enthousiasme de vous entendre librement en classe !
Les cours vont un peu vite pour moi, mais ça, c’est mon problème–je n’ai pas pris français depuis le second semestre l’an dernier, alors l’est un peu rouillée.
J’aime plus Zilia, maintenant qu’elle devient plus indépendant. J’ai apprécié sa conception de la mer–que c’était un monde distinct de la terre. Son caractère est souvent accidentellement poétique (comme sa description du miroir). C’est un peu navrant qu’elle pense toujours qu’elle va voir encore Aza, mais il fonctionne bien en faveur de l’écrivaine–c’est une bonne occasion pour certains ironie dramatique. Il est un beau mélange de respect et de crainte de la France de la part de Zilia, ce qui m’amène à mon point principal. En Lettre XII, j’ai finalement réalisé le but de l’histoire–le roman est pas nécessairement une histoire d’amour, mais l’amour était un canal avec laquelle l’ecrivaine a enseigné à ses lecteurs à regarder sa société avec de nouveaux yeux afin ils ne seraient pas devenus trop fier ou de prendre ce qu’ils avaient acquis.
Je suis avec Helena (pas seulement parce que nous avons des noms similaires), je n’ai pas pris un cours de français depuis l’année dernière, donc je suis en train de suivre!
Je trouve aussi triste que Zillia voit encore l’espoir de voir son Aza. Je suis d’accord avec Helena dans la vue que cet espoir permet une dramatique incroyable.
J’aime la façon dont l’auteur utilise Zilia comme un outil pour montrer les corruptions de la société française au 18ème siècle. Je trouve admirable le facon qu’elle critique la société française, elle critique la façon dont ils traitent les femmes, ce qui est rare pour une femme de faire à ce moment-là. Je pense que beaucoup de femmes pourraient comprendre Zilia et son amour pour Aza, car il est très fort et réel. J’ai été un peu choqué quand elle a refusé Déterville. Cette décision est contre l’idée (du 18ème siècle) que les femmes ont besoin de se marier et être pris en charge par un homme.
Normalement, quand les gens sont captures durant cette période, les victimes seraient considérés comme les possessions et non humaine. Donc, je l’ai trouve intéressant de voir comment Deterville semble tenir à elle et non comme un esclave.
Je me demande pourquoi ont-ils la capturer ? Parce qu’elle vient de la royauté, elle n’est pas probablement pratique pour travail. Si c’est une conquête espagnole, n’est-il pas mieux pour tuer les royautés ?
Il semble qu’elle trait « avec autant d’humanité » et elle donnait beaucoup de cadeaux, un traitement que je ne m’attendais pas les Européens à montrer à une personne indigène : « un éclat surprenant, dont on orne ici presque toute les parties du corps ; on en passe aux oreilles, on en met sur l’estomac, au col, sur la chaussure » (149).