le 5 février – Un cœur simple, pp. 31-59
→ notes du cours ; voyez aussi plus bas
le 7 février – Poèmes de Baudelaire
→ notes du cours magistral (à venir)
Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal (2e édition de 1861)
“L’albatros”
“Le Léthé” (dans l’édition de 1857, pièce condamnée et donc absente de l’édition de 1861)
“Les Chats”
“Spleen”
On fera aussi référence à: “Les Bijoux” (1857), “Parfum exotique,” “La chevelure,” “Les métamorphoses du vampire” (1857), “Femmes damnées” (le 1e des deux poèmes au même titre, 1857), “Femmes damnées” (le 2e)
(travail pour le portfolio d’écriture: un commentaire sur un de ces poèmes, ou un de ceux de la semaine dernière, au choix)
COMMENTAIRES SUR LE BLOG:
(1) posez une question sur les lectures de cette semaine
→ au moins avant le cours de jeudi
(2) faites un commentaire sur le(s) cours magistral
→ au moins un commentaire, après le cours de jeudi
(3) une réflexion sur les lectures
→ au moins une, avant la fin de la semaine
Ajoutez vos questions et vos commentaires en-dessous.
COMMENTAIRES SUPPLÉMENTAIRES (qui peuvent aussi s’intégrer aux commentaires régulières ci-dessus). Une continuation du travail en classe de mardi:
EXERCICE DE LECTURE : repérez les indications dans le texte, observez scientifiquement, comme un écrivain ou un critique réaliste du 19e siècle. C’est la version « method-reading » du « method-acting ».
- 1e groupe : du début à la p. 30
- 2e groupe : de la p. 31 à la fin
Que sait-on de Félicité, et comment ? Le portrait de Félicité :
1. la description extérieure, physique
CITATIONS : … à vous de les ajouter ici sur le blog du cours…
2. la description intérieure : l’émotion, etc.
CITATIONS : …
3. les actions, les actes, les gestes, les habitudes de Félicité
CITATIONS : …
4. ce que voit et perçoit Félicité : son observation et son reportage des actions des autres, des événements ; sa perception de ce qui se passe ; son aveuglement
CITATIONS :
5. les paroles, inc. le silence et la surdité de Félicité
CITATIONS :
6. les idées, la pensée, la réflexion
CITATIONS :
Les catégories ci-dessus s’entre-croisent : ex. l’extérieur (un sourire) peut révéler l’intérieur (le bonheur) ; l’intériorité et/ou la pensée ; les gestes significatifs ; le choix, la sélection des événements qui sont décrits peuvent vous transmettre des messages, si on lit le texte comme un inspecteur en train de faire une enquête détective…
Avez-vous retrouvé des passages ambigus ?
Et/ou riches et denses, complexes malgré leur simplicité, concentrés de symbolisme, fortement révélateurs de l’essence-même de Félicité, « sa » propre vérité ? (rappelons : c’est un récit réaliste)
LES GRANDES QUESTIONS :
- Voit-on des changements ? De la progression ? Une évolution ?
- Quel est le message qu’on obtient du récit ? Du pessimisme ? De l’espoir ? Rien du tout, un simple « c’est la vie » ?
Y en a-t-il un message à en tirer ?
* rappelons : c’est un récit réaliste
→ travail pour le blog du cours + le portfolio d’écriture : ajoutez les citations que vous avez trouvées dans le texte (ex. p. 34, haut de la page, numéros des lignes : pas besoin de réécrire tout un passage)
→ pensez à votre choix de passages pour l’examen la semaine prochaine :
* mardi (semaine 7), on choisira 10 passages de chaque texte (Lettres d’une Péruvienne, Un cœur simple)
Pages 17 à 30
Description physique de Félicité:
<> page 19
Description intérieure de Félicité:
<> page 17
<> page 19 – religieuse, loyale
<> page 19
<> page 19
<> page 22
<> page 26 – courageuse, protectrice, maternelle
<> page 26
<> page 30
Désolée, voici les citations!!!
Pages 17 à 30
Description physique de Félicité:
” En toute saison elle portait un mouchoir d’indienne fixé dans le dos par une épingle, un bonnet lui cachant les cheveux, des bas gris, un jupon rouge, et par dessus sa camisole un tablier à bavette, comme les infirmières d’hôpital.
Son visage était maigre et sa voix aiguë. A vingt-cinq ans, on lui en donnait quarante. Dès la cinquantaine, elle ne marqua plus aucun âge; – et, toujours silencieuse, la taille droite et les gestes mesurés, semblait une femme en bois, fonctionnant d’une manière automatique.” page 19
Description intérieure de Félicité:
“resta fidèle à sa maitresse” page 17
“Elle se leva dès l’aube, pour ne pas manquer la messe” page 19 – religieuse, loyale
“Econome, elle mangeait avec lenteur” page 19
“automatique” page 19
“ce fut pour Félicité une preuve de tendresse; la sienne en redoubla” page 22
“Félicité reculait toujours devant le taureau, et continuellement lancait des mottes de gazon qui l’aveuglaient” page 26 – courageuse, protectrice, maternelle
“Félicité n’en tira aucun orgueil, ne se doutant même as qu’elle eut rien fait d’héroique” page 26
“Félicité se prit d’affection pour eux. Elle leur acheta une couverture, des chemises, un fourneau; évidemment ils l’exploitaient.” page 30
Pour les pages 17 à 30
Elle était amoureuse de Theodore qui lui brisa le coeur: “Ce fut un chagrin désordonné. Elle se jeta par terre, poussa page 22
“Son père, un macon s’était tué en tombant d’un échafaudage ” page 20
Elle était religieuse.
Elle était abusée; “était battue et finalement fut chassée pour un vole trente sols, qu’elle n’avait pas commis. page 20
Elle était silencieuse et modeste
Elle etait courageuse à la page 26 lorsqu’elle sauve la famille du taureau.
Pour les pages 31-59
Les paroles, inc. le silence et la surdité de Félicité:
Page 32: …et dès lors elle imita toutes les pratiques de Virginie, jeûnait comme elle, se confessait avec elle.
Page 33: L’enfant n’objecta rien. Félicité soupirait, trouvant Madame insensible. Puis elle songea que sa maîtresse, peut-être, avait raison. Ces choses dépassaient sa compétence.
Page 33-34: Félicité monta les bagages sur l’impériale, fit des recommandations au cocher…
Page 34: …avait perdu le sommeil, suivant son mot, était « minée ».
Page 34: …elle demanda la permission de recevoir son neveu Victor.
Page 36: Félicité, qui ne l’avait pas reconnu, criait: « Victor! »
Page 36: …et elle pria pendant longtemps…
Page 37: Et jamais elle ne parlait de ses inquiétudes.
Page 37-38: Pour qu’elle se consolât par son example, Félicité lui dit:
« Moi, Madame, voilà six mois que je n’en ai reçu ! …
-De qui donc ?… »
La servante répliqua doucement :
« Mais… de mon neveu !
-Ah ! votre neveu ! » Et, haussant les épaules, Mme Aubain reprit sa promenade, ce qui voulait dire : Je n’y pensais pas !… Au surplus, je m’en moque ! un mousse, un gueux, belle affaire !… tandis que ma fille… Songez donc !… »
Félicité, bien que nourrie dans la rudesse, fut indignée contre Madame, puis oublia.
Page 38: Pour le savoir, elle interrogea M. Bourais.
Page 38: …et Bourais l’invitant à dire ce qui l’embarrassait, elle le pria de lui montrer la maison où demeurait Victor.
Page 39: Puis, le front baissé, les mains pendantes, l’oeil fixe, elle répétait par intervalles:
« Pauvre petit gars ! pauvre petit gars ! »
Page 39: Félicité répondit, par un geste, qu’elle n’en avait pas besoin.
Page 39: Alors elle dit:
« Ça ne leur fait rien, à eux ! »
Page 42: Elle répétait les mêmes priéres…
Page 43: Félicité la sermonnait doucement; il fallait se conserver pour son fils, et pour l’autre, en souvenir « d’elle ».
Page 45: Félicité le réclama por elle-même.
Page 46: …elle fit dire une messe pour le repos de son âme.
Page 46: …et ce mot lui rappelait Victor, si bien qu’elle s’en informait auprès du nègre. Une fois même elle avait dit:
« C’est Madame qui serait heureuse de l’avoir ! »
Page 48-49: « Vous n’aurez pas vu, quelquefois, par hasard, mon perroquet ? » À ceux qui ne connaissaient pas le perroquet, elle ne faisait la description…et, assise au milieu du blanc, près de Madame, elle racontait totes ses démarches…
Page 49: Souvent sa maîtresse lui disait : « Mon Dieu ! comme vous êtes bête ! » elle répliquait : « Oui, Madame »…
Page 49: Ils avaient des dialogues, lui, débitant à satiété les trois phrases de son répetoire, et elle, y répondant par des mots sans plus de suite, mais où son coeur s’épanchait.
Page 51: Puis elle voulut parler au capitaine du bateau ; et, sans dire ce qu’elle envoyait, lui fit des recommandations.
Page 55: Dans la crainte qu’on ne la renvoyât, Félicité ne demandait aucune réparation.
Page 55: Il lui était connu, et elle répliqua doucement : « Ah! comme Madame »…
Page 56: …elle en fut tellement heureuse qu’elle le pria d’accepter, quand elle serait morte, Loulou, sa seule richesse.
Page 56: « Pardonnez-moi, dit-elle avec un effort pour étendre le bras, je croyais que c’était vous qui l’aviez tué ! »
Page 56: Félicité de temps à autre parlait à des ombres.
Page 58: Félicité roula ses prunelles, et elle dit, le moins bas qu’elle put :
« Est-il bien ? » tourmentée du perroquet.
Partout ce roman la ressemblance de Félicité ne change beaucoup.
« A vingt-cinq ans, on lui en donn[e] quarante. Des la cinquantaine, elle ne marqua plus aucun âge. » pg 19
Je l?imagine avec un visage empathique, si c?est un peu « maigre ». Ce continue à cette page de décrire les vêtements qu?elle porte.
« En toute saison elle portait un mouchoir d?indienne fixe dans le dos par une épingle, un bonnet lui cachant les cheveux, des bas gris, un jupon rouge et par-dessus sa camisole un tablier à bavette, comme les infirmières d?hôpital. » pg. 19
Les indices de l?histoire qu?elle n?a pas trop de vêtements. Et au fin de livre, elle sait qu?
« elle possédait de quoi se vêtir jusqu’à la fin de ses jours ». pg. 54
Aussi à la fin de ses jours elle commence à regarder différent. Elle est plus faible comme
« ses forces diminuant »
et
« son visage [est] gripper ». pg. 55
La scène de sa mort décrire un peu répugnant, comme
« ses lèvres se coll[ent] a ses gencives » pg. 55
et sa corps détériore.
Desole, ce poste était destiné à la description de extérieure…
Les actes, gestes, événements, etc. Pg. 44-59
P. 44: « Du plus loin qu’elles paraissaient, Félicité accourait pour la prévenir. »
P. 44 : «… Félicité, qui tournait son rouet dans la cuisine. »
P. 44 : « Elles se promenaient ensemble le long de l’espalier… »
P. 45 : « Félicité le réclama pour elle-même. Leurs yeux se fixèrent l’une sur l’autre… »
P. 45 Paragraphe qui commence à la ligne 409
P. 46 : « Elle lui procura du linge, tâcha de nettoyer son bouge… »
P. 48 : « Félicité, que ses manières effrayaient, le plaça dans la cuisine. »
P. 48 : « Elle le guérit, en arrachant cette pellicule avec ses ongles. »
P. 48-49 : lignes 46-63
P. 49 : « Trois ans plus tard, elle était sourde ; et elle parlait très haut, mémé à l’église. »
P. 49 : « Le petit cercle de ses idées se rétrécit encore… »
P. 50 : « …elle le trouva mort, au milieu de sa cage… »
P. 50 : « Elle crut à un empoisonnement par le persil… »
P. 50 : « Elle traversa la forêt, dépassa le Haute Chêne, atteignit Saint-Gatien. »
P. 51 : lignes 123-142
P. 52 : « Elle l’enferma dans sa chambre. »
P. 52 : « Ne communiquer avec personne, elle vivait dans une torpeur de somnambule. »
P. 53 : « â l’église contemplait toujours le Saint-Esprit… »
P. 53 lignes 187-196
P. 54 « Félicité la pleura, comme … »
P. 54 « Félicité remonta les étages, ivre de tristesse. »
P. 55-56 linges 237-298
P. 57 « elle la voyait, comme si elle l’eût suivie. »
P. 58 « Une sueur froide mouillait les tempes de Félicité. »
P. 58 « Félicité roula ses prunelles, et elle dit… »
P. 55 lignes 55-63
Portrait de Felcite: Pages 17 A 31
Portrait Exterieur et Physique
. Travailleuse (P.17)
. Simple (P.19)
.Religieuse(P.19) = elle va a l’eglise et dort avec son chapelet
. Propre, econome (P.19)
. Visage maigre, voix aigue, aspect de vielle, taille fine (P.19)
. silencieuse, modeste, elle se comporte bien, elle fait tout bien a tel point qu’on pourrait la considerer comme une femme robot (P.19)
. battante et n’abandonne pas (P.20)
. courage use (P.25, vers 154)
. aucun orgeuil (P. 26, vers 180)
Portrait Interieur/ emotions
. Des son jeune age, elle vecut plusieurs drames tels que la mort de ses parents, la separation de sa famille, le maltraitement chez sa famille d’acceuil, la faim et la soif, en resume, elle ne connut pas d’enfance heureuse et paisible mais plutot une enfance sombre characterisee par des malheurs et des drames (P.20)
. Plus, elle tomba amoureuse de Theodore (P. 21) mais il l’abandonna et lui brisa le coeur, elle en a terriblement souffert (P. 22, vers 64)
. Cependant, elle n’est pas naive, car elle arriva a faire attendre Theodore jusqu’a ce qu’il lui demande en mariage, vers 45( P.21)
. Mais elle est incredule et ne croit pas qu’un homme puisse s’interesser a elle( vers 36 et 47, P. 21)
. Elle connut la joie et la tranquilite aupres des enfants de sa patronne, madame Aubain, en prenant soin d’eux (vers 83, P. 23)
. Elle est aussi rusee, (vers 100, P.23)
Gestes de Felicite/Actions/habitudes/ Sa perception du monde autour d’elle
. Elle n’a peur de rein, les choses qui pourraient effrayer le commun des mortels, la laissent impassible (P. 25), cela est peut etre du au fait qu’elle ait vecu telment de drames dans sa vie, ce qui fait qu’elle ne se laisse plus affecter par le moindre probleme, elle fonce et agit.
. Elle ne s’interesse pas au monde exterieur (P.180), ce qui se passe autour d’elle l’interesse peu, elle ne commente rien (P.27)
. Par contre, elle avait un certain mepris pour un des oncles de sa patronne et une certaine admiration pour Mr. Bourais, (vets 112, P. 24) : ” elle l’ouvrait avec plaisir”, on pourrait dire qu’elle en etait presque charmee.
Les paroles/ Le silence
. Vers 110 P. 23: “Vous en aver assez, Monsieur de Gremanville! A une autre fois!” Et elle refermait la porte (P.24), ici on peut dire qu’elle est exasperee par le comportement de ce monsieur, et lui porte un certain jugement.
Les idees/ La pensee/ la reflexion
.”Ce silence epandu augmentait la tranquilite des choses” P.29, vers 268.
. Principal “divertissement” = retour des barques P.29, vers 272, on peut deduire ici qu’elle aime la nature et la simplicite de la vie.
. Vers 283, P.30 “Elle avait retrouve une soeur” ici, elle resent un certain attachement pour cette famille, un lien, une affection et se laisse guidee par ces emotions sans prendre garde mais on ne connait pas la raison de cet attachment.
. “Madame Aubain la congedia” vers 287, P.30, ici elle ressent un peu de colere, de deception face au fait que sa patronne congedie une personne a qui elle tient et qui lui rappele sa soeur.
. “Affection pour eux”, P.30, vets 290 elle est exploitee mais soit elle ne s’en rend pas compte, soit elle le sait mais cela ne la derange pas.
. “L’eglise” cet endroit represente pour elle une joie, un paradis, une satisfaction, une occupation, en gros elle se sent vivre lorqu’elle y est. P.31, vers 11.
Je voulais ajouter à un commentaire par Chengyan de la semaine dernière. Il demandait pourquoi Mme. Aubain est décrit comme une femme méchante, et je me demande la même question. J’ai trouvé plusieurs moments où elle est assez chaleureuse pour une maîtresse de cette époque. Voici quelques uns:
-Elle donne Félicité permission de recevoir son neveu Victor (p. 34, l 90-91).
-Quand elle apprend la mort de Victor, Mme. Aubin “[…] lui proposa d’aller voir sa soeur, à Trouville.” (p. 39, l 227)
-En retrouvant un petit chapeau qui appartenait à Virginie, “Leurs yeux se fixèrent l’une sur l’autre, s’emplirent de larmes; enfin la maîtresse ouvrit ses bras, la servante s’y jeta; et elles s’étreignirent, satisfaisant leur douleur dans un baiser qui les égalisait.” (p. 45, l 400- 403)
Pages 31 à 59
La description intérieure de Felicite.
“: et elle garda de cette éblouisse,ent le respect du Trés Haut et le crainte de sa colère” (Page 31) et “Elle avait peine à imaginer sa personne…”(page 32) – Elle est religieuse, mais confus au sujet de sa religion
“La première cimmunion la tourmentait d’avance. Ella s’agita pour les souliers, pour le chapelet, pour le livre, pour les gants. Avec quel tremblement elle aida sa mere à l’habiller!” (Page 32)- Elle se sent maternelle pour Virginie.
“Pendant toute la messe, elle éprouva une angoisse” (Page 32)
“Felicite soupirait, trouvant Madame insensible” (Page 33)
“appuyée sur son bras dans un orgueil maternel” (Page 35)
“La perspective d’une telle absence désola Felicite” (Page 35)-Elle est attachée à son neveu
“Felicite, en passant prés du Calvaire, voulut recommander à Dieu ce qu’elle cherissait le plus: et elle pria pendant longtemps, debout, la face baignée de pleurs, lets yeux ver les nuages” (page 36)
Elle se sent maternelle pour son neveu aussi- “Felicite pensa exclusivement à son neveu…elle se tourmentait de la soif…craignait pour lui la foudre…” (Page 37)
“Felicite…fut indignée contre Madame…” (Page 38)
Après avoir appris la mort de son neveu, elle etait devastee: “ Felicite tomba sur une chaise, en s’appuyant la tête à la cloison, et ferma ses paupière, qui devinrent roses tout a coup” (Page 39)
“ et elle descendit.” (Page 41) Elle est responsible.
“Felicite ne quitta pas la morte” (Page 42) Elle est attachée
“…avait un surcrôit de tristesse, comme si on l’eût enterré avec l’autre.” (Page 42)
“Elle le guérit, en arrachant cette pellicule avec ses ongles” (Page 48) et “Loulou, dans son isolement, était presque un fils, un amoureux” (Page 49) -Elle est maternelle et protectrice.
Après la mort de Loulou….”Elle pleura tellement…” (Page 50) et “…sans doulour, pleine de tranquillité” (Page 52)
Aprés la mort de Madame…”Felicite remonta les étages, ivre de tristesse”. (Page 54)
Actions, actes, gestes, perception de ce qui se passe:
J’ai vraiment concentre sur une morceau assez court de la livre que je pense est tres important. C’est quand Felicite aide Virginie avec sa premiere communion.
On voit le niveau de sa foi en Dieu et L’Eglise Catholique. C’est un foi qui est aux meme temps tres simple mais tres profonde.
p.31
L.1 elle avait fait a la porte une genuflexion.
L.7 (elle voyait) le Saint-Esprit dominait la Vierge. (ce qui deviendra un symbol de sa relation avec sa perroquet.)
L.10 Elle croyait voir la paradis, le deluge… et elle garda de cet eblouissement le respect du Tres-Haut et la crainte de sa colere.
L.14 Elle pleura en ecoutant la passion…
P.32
L27. Et elle demeurait dans une adoration… quand aux dogmes, elle n’y comprenait rien.
L33. son education religiouse ayant ete neglige dans sa jeuness… elle imia toutes les pratiques de Virginie
P33
L53. Quand ce fut le tour de Virginie… il lui sembla qu’elle etait elle-meme cette enfant…
L58. le lendemain… Elle la recue devotement, mais n’y gouta pas les memes delices.
Portrait de Félicité:
1) Visage maigre et voix aiguë (19)
Vielle pour son age “à vingt-cinq elle se passait pour une quarantaine” (19)
Portant mouchoir d’indienne, bonnet, bas gris, jupon rouge, camison, tablier (19)
2)
Économe: Elle achète du pain et mange les miettes pour 20 jours. (19)
Pieux: “pour ne pas manquer la messe” (19)
Capable, peut se debrouiller: ses soeurs se sont partis, mais elle trouve du travail et survit, et elle peut faire plein de choses (19,20)
Fastidieuse “travillait jusqu’au soir sans interruption” (19)
Naïve (avec le jeune homme) (21)
Bonne volonté et peu d’exigences (22)
Humble (voir en bas)
3)
Allait à la messe chaque jour (19)
Refusa de cèder è fair l’amour avec le jeune homme (21)
Porta les enfants au dos (22)
Confronta le taureau pour que ses maîtres pouvaient se sauver (25)
Achaita couvertures, chemises, fourneaux pour les femmes attendant leurs maris (30)
4)
Sourit et reprit que c’était mal de se moquer (21)
“Dépêchez-vous!” (26)
Ne parle pas de son moment d’héroïsme (humble) (26)
1. physique: page 19: Son visage était maigre et sa voix aiguë. A vingt-cinq ans, on lui en donnait quarante.
2. intérieur: page 21: “elle eut peur et se mit à crier.”, “Elle ne sut que répondre et avait envie de s’enfuir”.
3. actions: page 23, deuxième paragraph: “Félicité preparait d’avance les cartes et les chaufferettes. = diligent, bien organizer. Une bonne travailleuse.
5. les paroles, inc. le silence et la surdité de Félicité : Page 24: “Félicité le poussait dehors poliment: ‘vous en avez assez, Monsieur Gremanville! A une autre fois!’…”. ça politesse, ça capabilité de prendre soin d’un situation désagréable.
6. les idées, la pensée, la réflexion :page 26. Au sujet de ses actions après l’évènement du taureau:: “”Félicité n’en tira aucun orgeuil, ne se doutant meme pas qu’elle eût rien fait d’héroique. = modeste.
Ses actions et pensées envers Nastasie Barette (page 30): “Félicité se prit d’affection pour eux…” Elle a un bone Coeur et est remplie d’empathe. Elle sait comment la vie de pauvreté.
Au final, un Coeur simple résume l’histoire d’une dame qui a utilise la religion et sa force intérieure pour se forger un caractère et supporter tous les obstacles de la vie. Le fait qu’elle ait autant souffert mais qu’elle n’ait jamais eu l’occasion d’en parler fait qu’elle s’attache vite a certaines personnes qui donnent un sens a sa vie comme: Virginie et son neveu Tom. Son attachement au perroquet démontre aussi son désir de posséder quelque chose de tangible et qui peut lui tenir compagnie. Aussi simple que semble Felicite et sa vie même, son personnage est tout de même complexe et en l’étudiant de plus près, on découvre ses faiblesses et ses désirs caches.
Un message important peut être le fait que malgré tout ce que l’être humain peut endurer, un jour ses faiblesses se manifesteront mais la foi est une vertu très importante qui donne un sens a la vie de l’être humain. On peut dire que l’histoire présente un cote pessimiste mais aussi optimiste. L’histoire en elle même représente la vie en général. La vie n’est pas rose, et il y a toujours des hauts et des bas.
(Je n’arrive pas à accéder à connecter! Voici mon commentaire sur un poème de cette semaine pour mon portefeuille.)
Les Métamorphoses du vampire semble, à première vue, un aliment de base de la poésie gothique, à la sexualité sombre qui était (et est) tellement de commun avec l’utilisation de vampires dans la poésie et la littérature. La femme vampire est souvent considéré comme une sorte de succube, attirer d’hommes à la mort avec une beauté et une sensualité mystique et irrésistible, et après festoyer sur les âmes des hommes, reviendrait à leur véritable nature monstrueuse. Le genre de femme vampire présents dans Les Métamorphoses, ainsi que roman Dracula par Bram Stoker, s’inspirer de nombreuses autres créatures mythiques connus pour dévorent (littéralement) des hommes avec leur beauté–les sirènes de la mythologie grecque, par exemple, et les sirènes (à partir de plusieurs cultures), autrement connu comme « Femme Fatales ». « »
Baudelaire fait ainsi bon usage de l’imagerie sensuelle ici: « sa bouche de fraise », …« en se tordant ainsi qu’un serpent », « laissait couler ces mots tout imprégnés de musc », « j’ai la lèvre humide » (dans la première strophe), et « mes soutiens-gorge veloutés » (dans la deuxième strophe), ce qui contraste non seulement avec sa vraie nature, mais aussi avec les images choquantes dans la troisième strophe ( « Qu’une outre aux flancs gluants, toute pleine de pus ! »).
Portrait de Felicite p 31 a la fin
– attentione :
(pg 34 : “il apportait ses nippes a reccomoder ; et elle acceptait cette besogne)
(pg 43 la morte de Virginie)
– plein d’abnégation:
(p 33 : “elle-meme le moins possible pour epargner la depense, elle le bourrait tellment de nourriture qu’il finissait par s’endormir”)
(pg 40)
(pg 41)
(pg 42)
-clément :
(pg 37 : “Felicite bien que nourrie dans la rudesse, fut indignee contre Madame, puis oublia”)