En tant qu’ une étudiante-maître, on me dit que c’est un bon temps pour joindre le personnel enseignant puisque je sera exposé seulement au nouveau curriculum qui sera, par conséquent, moins compliqué. Cependant, je me demande si c’est un avantage ou un défi car d’après des enseignantes avec qui j’ai déjà parlé il y a beaucoup de côtes et aspects qu’il doivent être pris en considération quand il s’agit du nouveau curriculum. Malgré toute la flexibilité du nouveau curriculum, il y a la question si ce système est bénéfique pour tous les élèves y compris ceux qui ont les besoins spéciaux. Bien que l’accent est mis sur l’approche d’enquête et transdisciplinaire, c’est encore difficile de la mettre en ouvre avec certains types des élèves. Selon une enseignante qui a déjà expérimenté un projet d’enquête sur les ressources naturels du canada avec 30 élèves de la cinquième année (y compris 4 élèves des plan d’éducation individualisé et 5 apprenants de l’anglais comme la langue seconde), une approche interactive et fondée sur d’enquête est presque impossible avec le soutien insuffisant et manque de ressources. Cependant le cas serait différent dans une classe d’immersion française de la septième année sans la présence des besoins spéciaux. Car le niveau et la composition de la classe peut mieux contribuer à l’approche d’enquête. Alors une autre inquiétude surtout pour les nouveaux enseignants est la manque d’information et guidance en plus de l’absence de ressources et support dans les classes. En plus, les enseignants aiment s’assurer que des parents sont conscients de ce fait que le nouveau curriculum ne signifie pas qu’il n’y a pas d’évaluation seulement parce que l’apprentissage est plus personnalisée.
D’après les enseignantes interviewées, un autre grand changement est le fait que dans le nouveau curriculum il y a plus de concentration sur les études autochtones. Une réalité qui peut créer inconfort quand les enseignants n’ont pas assez de connaissance ou ne sont pas certains de ce qui peut être partagé ou enseigné. Tandis que l’intégration des études autochtones est bien décidée, il s’agit de plus de préparation, formation, et participation dans les ateliers de la part des enseignants.
Hello Mahsa,
You’ve raised some important points here. Those that stand out for me are:
1) Lack of resources in classes where there are special needs, ESL and other demands. Our public schools are in need of additional support and the implementation of the curriculum will make some aspects of teaching even more challenging than they are now.
2) The additional training needed to incorporate indigenous knowledges/approaches to education. I agree with your statement about the need for more professional growth and better understanding in this area.
Thank you for your thoughts.