L’enseignante avec qui j’ai parlé est toute en faveur des changements dans le curriculum. Néanmoins, elle a subi des difficultés dans l’application des perspectives autochtones. Enseignante dans une classe d’immersion en maternelle, elle trouve que les ressources considérées comme « authentiques » sont plus difficiles à reconnaître, surtout en français. Cette difficulté ne va qu’augmenter avec l’âge des élèves, quand ils doivent s’appliquer plus directement à l’histoire canadienne concernant les peuples autochtones. Elle est de l’opinion que nous bénéficions beaucoup du programme courant à UBC qui met en valeur les perspectives autochtones, car elle s’inquiète de mal représenter les voix des Premières Nations. C’est un travail délicat, dit-elle, car on commence juste à refaire des liens vers la restitution.
Elle trouve aussi que le nouveau curriculum est plus ouvert que le vieux, et qu’il laisse plus d’espace aux éducateurs de mélanger des sujets dans la poursuite d’une unité thématique. Ça elle aime parce que c’est plus intéressant pour elle, et parce qu’il rend service aux enfants qui ont des divers façons d’apprendre.
Hello Kathleen,
Incorporating indigenous perspectives is one thing…incorporating indigenous perspectives in a culturally sensitive, well-informed and authentic manner is–indeed–another. Your text highlights this point nicely.
Like the person you spoke with, I also think the UBC BEd is strong in building teacher candidates’ understandings of aboriginal issues and perspectives in education.
Thank you.