Conversation – Emily Lacock

J’ai discuté de ces changements avec mon amie qui vient de terminer son B.Ed à UVic l’année passée. Elle travaille comme suppléante maintenant. Elle a de l’experience avec le nouveau et l’ancien curriculum. Ces commentaires principaux étaient que :

·      Le nouveau curriculum est plus ouvert et permet une plus grande flexibilité dans l’enseignement. Il permet aux enseignants d’intégrer davantage les intérêts des étudiants, car il se concentre plutôt sur les grandes idées et les compétences qu’au contenu.

·      Il se concentre également sur l’enquête. Les enfants aiment partager leurs curiosités et trouver des réponses à leurs questions. Pour les nouveaux enseignants, elle pense que la souplesse peut être un défi parce que ça ne leur donne pas assez d’orientation

·      Elle trouve qu’étant quelqu’un qui entre la profession maintenant, c’est difficile de recevoir du soutien des enseignants chevronnés, car ce curriculum est nouveau pour eux aussi. Cela étant dit, entrer au moment de la transition lui permet d’avoir un esprit ouvert au changement.

·      Les enseignants chevronnés trouvent que c’est difficile de passer d’un système structuré à un système plus ouvert et plus souple

·      Elle trouve que les enseignants chevronnés veulent communiquer aux parents que cette transition va prendre du temps, mais que la flexibilité donne les professeurs plus de liberté à répondre aux besoins uniques des élèves.

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1 Response to Conversation – Emily Lacock

  1. Isabeau Iqbal says:

    The mentorship piece you’ve highlighted is an interesting and important aspect of this transition. As you point out, the mentorship may become more bi-directional as seasoned and new instructors figure things out through practice and experience.
    Thank you for these reflections Emily.

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