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Co-designing patient oriented research training building on existing resources

Le français suit / French follows

Written by Linda Wilhelm (Patient Partner, MSSU) and Lisa MacDougall (Patient Engagement Coordinator, MSSU)

Our approach to Patient-Oriented Research Training (POR) at the Maritime Strategy for Patient Oriented Research Support Unit (MSSU) has been to draw on the excellent work being done across Canada. The MSSU is one of 11 SUPPORT Units that form part of the Strategy for Patient-Oriented Research (SPOR), a Canadian Institutes of Health Research (CIHR) initiative that is match-funded by the provinces. The MSSU is the only SUPPORT Unit that serves more than one province, offering expertise, training, and resources to help engage people with lived experience in health research across New Brunswick, Nova Scotia and Prince Edward Island.

Over the past few years, there has been a proliferation of resources, tools, and information about patient engagement, but there have been few opportunities to really engage in dialogue in a deeper way around the actual practice of POR within our local context. We were very excited when we saw that the Canadian Institutes of Health Research’s (CIHR) Institute of Musculoskeletal Health and Arthritis (IMHA) had developed a set of online, self-directed, free modules applicable to any research where patient partners are engaged! The How-to Guide for Patient Engagement in Research was led by IMHA’s Patient Engagement Research Ambassadors (PERA). The modules are an excellent resource for anyone wanting to learn more about patient-oriented research and engaging patient partners throughout the research process.

“In the decades of being a patient partner in research I have seen research networks use their funding to develop training materials instead of building on what has already been created and not waste precious resources and time.” – Linda Wilhelm, MSSU Patient/Public Partner

When we saw what was offered, we reached out to three MSSU Patient/Public Partners to gauge their interest in co-designing a practicum.

We wanted to move away from a lecture approach and allow more time for dialogue between participants and we wanted to use the CEPPP Learning Together: Evaluation Framework for Patient and Public Engagement in Research to provide practical guidance for doing patient engagement. We also introduce participants to the MSSU, including our Consult Service, which is the next step in the learning journey for researchers in the Maritimes. Completion of the IMHA modules is a prerequisite for the MSSU Patient Oriented Research Practicum. This ensures an understanding of the concepts of patient-oriented research and patient engagement.

Co-facilitated by the Patient Engagement Coordinator, the Capacity Development Coordinator and one Patient Partner, the Practicum really centers around the Patient Partner’s experiences as partners in research. They can adapt portions of the session to reflect their own real-world experience in specific projects and share with the participants examples of where they were meaningfully engaged.  Participants can ask questions about their own work – and this is where the Patient Partner’s knowledge really shines! In our evaluation, we always ask participants what they will remember most:

“It’s a tough one to answer because the session was quite informative! I think one of my biggest takeaways is that maintaining consistent communication with PPs [patient partners] is key for a successful POR project. Also, I loved hearing the firsthand experiences of being a PP from Linda.” – Zenna Evans, POR Practicum Participant, April 2025

We provide the scaffolding, but the Patient Partners tailor the message in a way that is meaningful for them.

Although created to support people doing patient-oriented research in the Maritimes, the MSSU POR Practicum is open to everyone and is offered about 10 times per year. It has been delivered 16 times since it was launched in 2023, with 189 participants attending 15 English sessions and 10 participants attending 1 French session. Together, the CIHR-IMHA modules, followed by our POR Practicum, provide a solid foundation to get people started on their POR learning journey.


Rédigé par Linda Wilhelm (patiente partenaire, USSM) et Lisa MacDougall (coordonnatrice de la mobilisation des patients, USSM)

La formation en recherche axée sur le patient (RAP) à l’Unité de soutien de la SRAP des Maritimes (USSM) prend appui sur l’excellent travail effectué en la matière partout au Canada. L’USSM est l’une des 11 unités de soutien qui font partie de la Stratégie de recherche axée sur le patient (SRAP), une initiative des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) à laquelle les provinces et territoires fournissent un financement paritaire. L’USSM est la seule unité qui dessert plus d’une province. En effet, elle offre expertise, formation et ressources pour aider à faire participer les personnes ayant une expérience concrète à la recherche en santé au Nouveau-Brunswick, en Nouvelle-Écosse et à l’Île-du-Prince-Édouard.

Au cours des dernières années, bon nombre de ressources, d’outils et d’information sur la mobilisation des patients ont vu le jour, mais il y a eu peu d’occasions d’engager un réel dialogue sur ce que signifie concrètement la RAP dans notre contexte local. Nous avons donc été très heureuses de constater que l’Institut de l’appareil locomoteur et de l’arthrite (IALA) des IRSC avait créé une série de modules d’autoformation pour la recherche faisant appel à des patients partenaires, le tout en ligne et gratuit! Le groupe des ambassadeurs de la recherche axée sur le patient (ARAP) de l’IALA a été à la barre de la conception de ces modules. Il s’agit d’une excellente ressource pour quiconque souhaite en apprendre davantage sur la RAP et mobiliser des patients partenaires tout au long du processus de recherche, quel que soit le domaine.

« Patiente partenaire depuis des dizaines d’années, j’ai constaté que de nombreux réseaux de recherche puisent dans leurs fonds pour créer leur propre matériel de formation, alors que s’offrent déjà à eux des outils qui leur permettraient d’éviter de gaspiller des ressources et du temps précieux. » – Linda Wilhelm, patiente et membre du public partenaire de l’USSM

Inspiré par ce qui était offert, l’USSM a fait appel à trois de ses patients et membres du public partenaires pour contribuer à la conception d’un stage pratique sur la RAP.

Nous voulions rompre avec l’enseignement magistral afin de privilégier le dialogue entre les participants, tout en mettant à profit les conseils du cadre « Apprendre ensemble » pour l’évaluation de la mobilisation des patients et du public en recherche. Notre objectif était aussi de mieux faire connaître l’USSM aux participants, notamment son service de consultation (en anglais seulement) qui fait partie du parcours d’apprentissage des chercheurs dans les Maritimes. Ainsi, les modules de l’IALA sont un prérequis pour participer au stage pratique sur la RAP de l’USSM, puisqu’ils permettent aux participants de bien comprendre les principaux concepts de la RAP et de la mobilisation des patients.

Coanimé par la coordonnatrice de la mobilisation des patients, la coordonnatrice du renforcement des capacités et une patiente partenaire, ce stage pratique s’articule vraiment autour des expériences vécues par les patients en tant que partenaires dans la recherche. Les animatrices peuvent adapter des parties de la séance à leur propre expérience dans le cadre de projets précis et donner aux participants des exemples illustrant ce que signifie une véritable mobilisation. De plus, les participants peuvent poser des questions se rapportant à leur propre travail, et c’est là que les connaissances des patients partenaires sont vraiment mises en valeur! Après le stage, nous demandons toujours aux participants ce qu’ils retiennent le plus de cette séance d’apprentissage :

« Il est difficile de répondre à cette question, car toute la séance a été très instructive! Ce que je retiens le plus cependant est que le maintien d’une communication cohérente avec les patients partenaires est essentiel à la réussite d’un projet de RAP. J’ai également adoré entendre Linda me raconter son expérience personnelle à titre de patiente partenaire. » – Zenna Evans, participante au stage pratique sur la RAP, avril 2025

Nous fournissons le cadre, mais il revient aux patients partenaires de personnaliser le message de la manière qui leur semble la plus appropriée.

Bien qu’il ait été créé pour appuyer les personnes qui font de la RAP dans les Maritimes, le stage pratique de l’USSM est ouvert à tous et est offert environ 10 fois par année. Depuis son lancement en 2023, il y a eu 16 séances; 189 participants ont assisté à l’une des 15 séances en anglais et 10 à celle présentée en français. Ensemble, les modules de formation de l’IALA des IRSC, suivis de nos stages pratiques sur la RAP, constituent une base solide pour donner aux participants les moyens d’apprivoiser ce type de recherche.

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Impact Report 2017-2025 / Rapport sur les retombées de 2017-2025

Impact Report 2017-2025 / Rapport sur les retombées de 2017-2025

Institute of Musculoskeletal Health and Arthritis / Institut de l’appareil locomoteur et de l’arthrite

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Final version:

English PDF – final version of the Impact Report 2017-2025

Version finale :

PDF en français – version complète de le rapport sur les retombées de 2017-2025

If you would like to request the document in a different format (e.g., Microsoft Word Doc), please email CIHR-IMHA via IMHA-IALA@cihr-irsc.gc.ca.

Si vous souhaitez obtenir le document dans un autre format (par exemple dans un fichier Microsoft Word), veuillez en faire part à l’IALA des IRSC à IMHA-IALA@cihr-irsc.gc.ca.

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Cy Frank Legacy Lectureship / la conférence Inspiré sur Cy Frank Legacy

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Join Us for the Inspiring Cy Frank Legacy Lectureship on September 17, 2024

Author: McCaig Institute for Bone and Joint Health | Cumming School of Medicine | University of Calgary

How can we transform cutting-edge research into real-world solutions that improve patient care? Discover the answers with us at the Cy Frank Legacy Lectureship, an event that honors the legacy of an internationally acclaimed visionary who dedicated his life to this mission. On behalf of the McCaig Institute for Bone and Joint Health, I am thrilled to invite you to an event that promises to inspire and inform: the Cy Frank Legacy Lectureship 2024.

This year’s keynote speaker, Dr. Robyn Tamblyn, BScN, MSc, PhD, CM, is not only a former trainee of Dr. Frank but also a passionate advocate for health innovation. Her journey and dedication mirror Dr. Frank’s own commitment to transforming lives through research. In her presentation, “Innovations in Clinical Care,” Dr. Tamblyn will share groundbreaking insights and personal stories that underscore the profound impact of Dr. Frank’s mentorship and vision.

Dr. Tamblyn is a Professor of Medicine and James McGill Chair at McGill University. Her notable contributions as a Medical Scientist at the McGill University Health Centre and as the former Scientific Director of the CIHR Institute of Health Services and Policy Research have been recognized with numerous awards, including the ACFAS Bombardier award and the John P. Hubbard Award. Dr. Tamblyn, who was appointed to the Order of Canada, has significantly improved Canada’s health care system through her innovative work in medication use and clinical competence evaluation. In 2019, she was elected as a Fellow to the Royal Society of Canada and appointed Director of the Division of Clinical Epidemiology at the McGill University Health Centre.

Attending this event provides a unique opportunity to gain deep insights into the latest advancements in clinical care. Whether you are a healthcare professional, researcher, or student, you will find takeaways that can enhance your work and broaden your perspective on health innovation.

We invite you to join us for this free event.

  • Date: Tuesday, September 17, 2024
  • Time: 4:00 p.m. MDT
  • Location: Theatre 4, Health Sciences Centre, Foothills Campus
  • Light reception in the Hippocrates Mall to follow the lecture.

The event will also be livestreamed.

Don’t miss this chance to honor Dr. Cy Frank’s legacy and gain valuable knowledge. Register today at:  ucalgary.ca/cy-frank-lecture

Dr. Robyn Tamblyn, keynote speaker

Rejoignez-nous pour la conférence Inspiré sur Cy Frank Legacy le 17 septembre 2024

Comment pouvons-nous transformer la recherche en solutions concrètes qui améliorent les soins aux patients? Découvrez les réponses avec nous lors de la conférence Cy Frank Legacy, un événement qui honore l’héritage d’un visionnaire de renommée internationale qui a consacré sa vie à cette mission. Au nom de l’institut McCaig pour les os et la santé des joints, je suis ravi de vous inviter à un événement qui promet d’inspirer et d’informer : la Cy Frank Legacy Lectureship 2024.

La conférencière principale de cette année, la Dre Robyn Tamblyn, BScN, MSc, PhD, CM, est non seulement une ancienne stagiaire du Dr Frank, mais également une scientifique qui travaille sur l’innovation en santé. Son parcours et son dévouement reflètent l’engagement du Dr Frank à transformer des vies grâce à la recherche. Dans sa présentation intitulée « Innovations en soins cliniques », la Dre Tamblyn partagera des idées révolutionnaires et des histoires personnelles qui soulignent l’impact profond du mentorat et de la vision du Dr Frank.

Le Dr Tamblyn est professeure de médecine et titulaire de la chaire James McGill à l’Université McGill. Ses contributions remarquables en tant que scientifique médical au Centre universitaire de santé McGill et en tant qu’ancien directeur scientifique de l’Institut de la santé des IRSC ont été reconnues par de nombreux prix, dont le prix Bombardier de l’ACFAS et le prix John P. Hubbard. La Dre Tamblyn, qui a été nommée à l’Ordre du Canada, a considérablement amélioré le système de santé du Canada grâce à son travail novateur dans l’utilisation des médicaments et l’évaluation des compétences cliniques. En 2019, elle a été élue membre de la Société royale du Canada et nommée directrice de la Division d’épidémiologie clinique du Centre universitaire de santé McGill.

Assister à cet événement offre une occasion unique d’acquérir des connaissances approfondies sur les dernières avancées en matière de soins cliniques. Que vous soyez professionnel de la santé, chercheur ou étudiant, vous trouverez des enseignements qui pourront enrichir votre travail et élargir votre perspective sur l’innovation en santé.

Nous vous invitons à nous rejoindre pour cet événement gratuit.

  • Date: mardi 17 septembre 2024
  • Heure: 16h00 MDT
  • Lieu: Théâtre 4, Centre des sciences de la santé, Campus Foothills
  • Réception près de la statue d’Hippocrate pour suivre la conférence.

L’événement sera également diffusé en direct.

Ne manquez pas cette occasion d’honorer l’héritage du Dr Cy Frank et d’acquérir de précieuses connaissances. Inscrivez-vous aujourd’hui à : ucalgary.ca/cy-frank-lecture

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Separating the signal from the noise

Digital Health and Physical Activity Strengthening Workshop

May 2nd and 3rd 2024

Agenda and speaker biographies available here: Attendee handbook

With special thanks to International Advisory Board leads Dr. Emmanuel Stamatakis and Dr. Fiona Bull as well as to theme leads, program speakers, and notetakers.

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National Oral Health Research Strategy: Congratulatory message from Christopher H. Fox, DMD, DMSc / Stratégie nationale de recherche sur la santé buccodentaire : Message de félicitations de la part de Christopher H. Fox, D.M.D., D. Sc. M.

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Dear Colleagues,

Congratulations on launching the National Oral Health Research Strategy (NOHRS) at the Canadian Oral Health Summit today (June 21st, 2024).  A significant milestone for our dental, oral, and craniofacial researchers in Canada and for the health of all Canadians!  Of course, after successful execution of your research strategy, your findings will have global implications. The new Canadian dental care plan and the NOHRS are very much in line with the WHO’s Global Oral Health Action Plan.

Delighted that IADR is represented at the oral health summit through all of our CADR members, our IADR North American Regional Board Member, Olga Baker, and our two editors, Jocelyne Feine and Nick Jakubovics.

A sincere thanks from the IADR Board on this important launch. Enjoy the rest of the summit and I hope this US northeast heat wave hasn’t reached Halifax.

Kind regards,

Christopher Fox

Christopher H. Fox, DMD, DMSc, Chief Executive Officer

International Association for Dental, Oral, and Craniofacial Research | www.iadr.org

American Association for Dental, Oral, and Craniofacial Research | www.aadocr.org


Bonjour,

Félicitations pour le lancement de la Stratégie nationale de recherche sur la santé buccodentaire, qui s’est tenu le 21 juin à l’occasion du Sommet canadien sur la santé buccodentaire! Il s’agit là d’une étape importante pour favoriser la santé de toute la population canadienne et appuyer les chercheurs dans le domaine de la santé buccodentaire et craniofaciale au Canada. Les résultats qui découleront de la mise en œuvre de la Stratégie auront sans aucun doute des retombées à l’échelle mondiale. Je tiens à ajouter que le nouveau Régime canadien de soins dentaires et la Stratégie nationale de recherche sur la santé buccodentaire se conforment pleinement au Plan d’action mondial pour la santé bucco-dentaire de l’Organisation mondiale de la santé.

Je suis ravi que l’Association internationale de recherches buccodentaires et craniofaciales (IADR) soit représentée au Sommet canadien sur la santé buccodentaire par l’entremise de tous les membres de l’Association canadienne de recherches dentaires, d’Olga Baker (membre du comité de la région de l’Amérique du Nord de l’IADR) ainsi que de Jocelyne Feine et de Nick Jakubovics (rédacteurs en chef à l’IADR).

Au nom du conseil d’administration de l’IADR, je tiens à vous remercier sincèrement pour votre apport à cet important lancement, et je vous invite à bien profiter des prochaines activités du Sommet. J’espère que la vague de chaleur que connaît le nord-est des États-Unis ne vous frappera pas à Halifax.

Sincères salutations,

Christopher Fox

Christopher H. Fox, D.M.D., D. Sc. M., directeur général

Association internationale de recherches buccodentaires et craniofaciales | www.iadr.org

American Association for Dental, Oral, and Craniofacial Research | www.aadocr.org

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National Oral Health Research Strategy / la Stratégie nationale de recherche sur la santé buccodentaire

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Final version:

Version finale :

If you would like to request the document in a different format, please email CIHR-IMHA via IMHA-IALA@cihr-irsc.gc.ca.

Si vous souhaitez obtenir le document dans un autre format, veuillez en faire part à l’IALA des IRSC à IMHA-IALA@cihr-irsc.gc.ca.

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One thing I’d like to see changed as a result of PxP / Un changement que j’aimerais voir à la suite de la conférence PxP

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By: Joletta Belton

One of the things I really enjoyed during the course of the PxP: Partnering to Make Research Stronger conference was the lively Zoom chat discussions that took place during the presentations. To see these chats for yourself, they have been summarized and anonymized and are available on the PxP Resource Hub.

There were also great questions asked in the Q&A, yet there wasn’t always time for those questions to be answered in depth. I particularly liked this question: “what is one thing you would like see changed after PxP?”

The answer for me came quickly: Building more relationships. Specifically relationship-building between researchers and people in the community who live with whatever it is that’s being studied. Relationships that are inclusive, diverse, and equitable, where power is shared (or power differentials are at least acknowledged and transparent) and everyone is valued for the unique knowledge, perspectives, skills, and experiences they bring.

The need for building and sustaining relationships was a common theme throughout all three days of the conference. Some important questions surrounding this theme include: where does this relationship building start? Who should initiate it? How can relationship-building between researchers and communities/people with health conditions be facilitated, resourced, supported, and sustained? Who is doing this well? Where can we improve?

In the first session to kick off PxP: Partnering to Make Research Stronger (https://youtu.be/Lf2TJmFRW24?si=1bEK92puH5h_rHRq), Angela Ruddock made the distinction between public contributors and community engagement. No one person can ever represent an entire group, and groups themselves are heterogeneous. As Angela said, ‘there’s no such thing as a homogenous community anywhere’. So when it comes to relationship-building we need to move beyond thinking in terms of just partnering with one person with pain on a particular study, to engaging and involving communities of people who can better represent the inherent diversity of experiences, backgrounds, perspectives, and insights.

“Go to where the people are at, develop a relationship with them.” Alma McCormick

This includes being sure to include all voices, as was discussed on day three (https://youtu.be/AC3zKsS37uU?si=CizLIO853V_VTjqv) and echoed what Angela said on day 1, that no group is ‘hard to reach’, they have been historically ignored and excluded. This exclusion can take the form of requiring patient partners and community members to come to the research, rather than the research going to the patient partners or into the community. Environments like the hospital, or health systems or academic systems and institutions, can actually be unsafe for some of these communities to come into, so there is a need for researchers to go into the communities to establish relationships and build trust.

Sandra Jayacodi asked, in the Including All Voices Session, ‘How about investing time and resources to building trust and relationship with communities?’ This sort of relationship building takes time, effort, and resources. We must avoid tokenism and embrace intersectionality and include and represent more diverse perspectives and peoples.

“Having funding that allows for pre-work and relationship building with communities. Funders for research have to proactively encourage and support inclusive research.” Sandra Jayacodi

It is so important that patient and public involvement and engagement in research is founded on strong, trusting relationships. This work needs be inclusive and representative, and certainly cannot be tokenistic. Relationship building takes investment of time, resources, and effort, but the payoffs are more than worth it.


S’il y a bien une chose que j’ai adorée de la conférence PxP Tisser des liens pour renforcer la recherche, ce sont les discussions animées du clavardage Zoom pendant les présentations. Si vous voulez y jeter un coup d’œil, elles ont été résumées et anonymisées sur la plateforme de ressources de PxP.

Les interrogations soulevées lors de la période de questions ont également été très pertinentes. Malheureusement, une réponse détaillée n’a pas pu être fournie pour chacune d’entre elles, faute de temps. J’ai toutefois trouvé cette question particulièrement intéressante : « Quel changement voudriez-vous voir à la suite de la conférence PxP? »

Pour ma part, la réponse m’est venue rapidement : nouer plus de relations. Surtout entre les chercheurs et les personnes de la collectivité qui vivent avec le problème ou la maladie à l’étude. Nous avons besoin de relations inclusives, diversifiées et équitables, où le pouvoir est partagé (ou encore où les différences de pouvoir sont au moins reconnues et transparentes) et où chacun est apprécié pour ses connaissances, ses perspectives, ses compétences et ses expériences uniques.

Le besoin de créer et d’entretenir des relations est un thème qui est revenu souvent lors des trois jours de la conférence. Parmi les questions importantes à ce sujet, mentionnons : par où commencer? Qui devrait entreprendre les démarches? Comment encourager, financer, soutenir et maintenir l’établissement de relations entre les chercheurs et les communautés ou personnes ayant des problèmes de santé? Sur qui prendre exemple? Quelles pistes d’amélioration explorer?

Lors de la première séance de la conférence PxP Tisser des liens pour renforcer la recherche (https://www.youtube.com/watch?v=Lf2TJmFRW24, en anglais seulement), Angela Ruddock a fait la distinction entre les collaborateurs du public et la participation communautaire. En effet, personne ne peut représenter un groupe en entier, et les groupes eux-mêmes sont hétérogènes. Comme l’a soulevé Angela, « une communauté homogène, ça n’existe pas ». Alors, lorsqu’il s’agit de créer des relations, il faut arrêter de collaborer avec une seule personne qui présente le problème à l’étude, et commencer à mobiliser et faire participer les communautés de gens pouvant mieux représenter la diversité inhérente aux expériences, aux horizons, aux perspectives et aux connaissances.

« Allons là où se trouvent les gens, et tissons des liens avec eux. » – Alma McCormick

Il s’agit notamment de veiller à inclure toutes les voix, comme mentionné à la troisième journée (https://www.youtube.com/watch?v=AC3zKsS37uU, en anglais seulement). Cette séance a également réitéré ce qu’avait mentionné Angela le premier jour, c’est-à-dire qu’aucun groupe n’est hors d’atteinte; c’est seulement que certains ont toujours été négligés et exclus. Par exemple, demander aux patients partenaires et aux membres de la communauté de venir à la recherche plutôt que l’inverse peut constituer une forme d’exclusion. Les membres de certaines communautés peuvent ne pas se sentir en sécurité dans des milieux comme les hôpitaux, les systèmes de santé ou les établissements d’enseignement. Il faut donc que les chercheurs se rendent dans les communautés afin de tisser des liens de confiance.

Lors de la séance Inclure toutes les voix, Sandra Jayacodi a posé la question suivante : « Pourquoi ne pas investir du temps et des ressources dans l’établissement de relations de confiance avec les communautés? » Ce genre de démarche demande du temps, des efforts et des ressources. Nous devons éviter la diversité de façade, appliquer l’intersectionnalité et inclure et représenter des points de vue issus d’une plus grande diversité de personnes.

« Il faut disposer d’un financement qui permet d’effectuer le travail préparatoire et d’établir des relations avec les communautés. Les bailleurs de fonds de la recherche doivent encourager et soutenir de façon proactive la recherche inclusive. » – Sandra Jayacodi

Il est crucial que la participation et la mobilisation des patients et du public en recherche reposent sur des relations de confiance solides. Les efforts se doivent d’être inclusifs et représentatifs, et ne peuvent se permettre d’être purement symboliques. Tisser des liens requiert temps, ressources et efforts, mais le jeu en vaut certainement la chandelle.

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Visualising Inclusive Research Excellence / Visualiser l’excellence en recherche inclusive

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Q&A with: Adriana Contreras and Michelle Buchholz

Edited by: Dr. Hetty Mulhall

Categorizing research initiatives is often unavoidable. When developing the IMHA Inclusive Research Excellence prizes, for example, we have stepped out of traditional research silos to embrace a more inclusive concept of research across six domains: Indigenous Health Research, Open Science, Research Impact, Team Science, Patient Engagement and Implementation Science. The intention is for these to be cross-cutting, but in reality, it is difficult to emphasise this interconnectivity sufficiently through words alone.

IMHA worked with Artist Adriana Contreras, with the support of Indigenous researcher and artist Michelle Buchholz, to develop an illustration that highlights  the elements of this initiative and enables us to embody inclusivity in future communications. Learn about the meaning of this piece, through the Q&A below.

Artwork to represent Inclusive Research Excellence. A full description is available in the blog article.

Q: How did you build an initial concept for this artwork?

A: We began by focusing on the aspirational spirit of the prizes and the commitment to uplifting and supporting inclusive research. We highlighted elements that are already happening in the field but may not be widely known, and others that express the desire for a deeper commitment to equity.

We brought in imagery usually associated with research, like the computer, graphs, and books, and built in conceptual elements from the research prize domains. We wanted to highlight the importance of looking closely at information beyond the surface, and maintaining a systemic approach to understanding the micro and macro of the aspects of data that are available. This is represented by the magnifying glass on the left side.

It was an important part of the process for us to be able to meet up in a casual space and to chat over a coffee about how this visual could best represent the research themes. In Indigenous communities, many great ideas and much work is done at the kitchen table, especially amongst Indigenous women. It’s often overlooked that conversations and spaces held in an informal way can produce the best stories and create connection and relationship.

Q: Can you speak about the people in the artwork?

A: We wanted to extend an invitation to expand the understanding of who is involved in research and to think beyond individuals who are commonly part of the academic spaces. The drawing shows conversation circles where everyone can connect at the same level and everyone is invited to put their ideas forward. Their voices are equally valued and understood.

The lived and living experience, cultural practices and knowledge people bring to the research process and values, addressing and ideally removing hierarchy, power imbalance and ‘othering’ in general. People don’t fit in one box, a lot of people who are patient partners also consider themselves researchers and the other way around. We aimed to bring an intersectional approach to representing diversity, to show that people are a combination of all different elements of their being.

Q: We’ve spoken quite a bit about knowledge translation. How has that been shown here?

The dandelion is a very resilient plant that travels well, propagating itself through its seeds that take flight finding fertile ground.  We included it in the visual to express how research can also propagate from a small idea and depending on the  environment where it finds itself, it grows in a different way each time. The strong dandelion roots are meant to represent how research and science are deep-rooted in evidence.

The two children in the drawing speak to intergenerational knowledge transmission, the importance of creating conditions that nurture meaningful participation of parents and people who care for children, breaking the silos around age, and around expertise and knowledge.

The image also highlights the importance of humanising people in the research space and considering career barriers people can experience if they chose to have children, seeing the importance of caregiving as a part of research too.

Q: Nature plays a key element in other ways, please can you explain these?

A:  The plants are meant to situate us geographically: the cedar branch on the West Coast, the cherry branch on the East Coast, and the gold thread in the Arctic.

Indigenous medicines are integral to cultural safety and invite Indigenous people into a space. Cedar is a sacred medicine and it can be cleansing.

The inclusion of these elements in the visual are also an invitation to ask: Where do we want the research to be rooted? Who does this research benefit? Who are we accountable to? What is our commitment?

Q: Lastly, how does the globe relate to the impact of research?

The globe symbolizes the implementation of the work and inclusion of  different voices, from a local, regional and global level.  It also represents the knowledge and expertise of immigrants   which provides different ways of understanding science and research and how that is brought into research in Turtle Island . It’s a constant stream of knowledge that flows in and out, having an impact globally.

The two arches  are the ripple effects of how research starts with something small and continues to grow. It also represents a feedback loop: research goes out into the world and comes back in a different way to continue feeding and transforming the process.


Visualiser l’excellence en recherche inclusive

Il est souvent inévitable de catégoriser les initiatives de recherche. Par exemple, lors de l’élaboration des prix de l’IALA des IRSC pour la promotion de l’inclusion dans le concept d’excellence en recherche, nous sommes sortis des cloisonnements traditionnels de la recherche pour adopter un concept plus inclusif dans six domaines : la recherche sur la santé des Autochtones, la science ouverte, les retombées de la recherche, la recherche collective, la mobilisation des patients et la science de la mise en œuvre. L’intention est de les rendre transversaux, mais en réalité, il est difficile d’insister suffisamment sur cette interconnexion par les mots seulement.

L’IALA a collaboré avec l’artiste Adriana Contreras, avec le soutien de la chercheuse et artiste autochtone Michelle Buchholz, dans le but de concevoir une illustration qui fait ressortir les éléments de cette initiative et qui nous permet d’incarner l’inclusivité dans nos communications. Découvrez la signification de cette œuvre ci-dessous.

L’IALA a collaboré avec l’artiste Adriana Contreras, avec le soutien de la chercheuse et artiste autochtone Michelle Buchholz, dans le but de concevoir une illustration qui fait ressortir les éléments de cette initiative et qui nous permet d’incarner l’inclusivité dans nos communications.

Q : Comment avez-vous élaboré le concept de cette œuvre d’art?

R : Nous avons commencé par mettre l’accent sur l’esprit ambitieux des prix et sur l’engagement à encourager et soutenir la recherche inclusive. Nous avons mis en évidence des éléments qui existent déjà sur le terrain, mais qui ne sont peut-être pas très connus, et d’autres qui expriment le désir d’un engagement profond en faveur de l’équité.

Nous avons intégré des images généralement associées à la recherche, comme l’ordinateur, les graphiques et les livres, et ce, en plus d’intégrer des éléments conceptuels issus des domaines des prix de recherche. Nous souhaitions souligner l’importance d’examiner avec soin l’information, au-delà des apparences, et d’adopter une démarche systémique visant à comprendre divers aspects des données accessibles, tant à l’échelle micro que macro. Le tout est représenté par la loupe à gauche.

Il était important pour nous de pouvoir nous rencontrer dans une atmosphère décontractée et de discuter autour d’un café de la manière dont cette image pourrait représenter au mieux les thèmes de recherche. Dans les communautés autochtones, beaucoup de grandes idées et de travail sont réalisés à la table de la cuisine, en particulier par les femmes autochtones. On oublie souvent que les conversations et les espaces organisés de manière informelle peuvent produire les meilleures histoires, en plus de créer des liens et des relations.

Q : Pouvez-vous nous parler des personnes qui figurent dans l’œuvre d’art?

R : Le but était de permettre de bien comprendre qui est concerné par la recherche et de penser au-delà des personnes qui, en général, font partie des espaces universitaires. Le dessin montre des cercles de conversation où tout le monde est au même niveau et où chacun est invité à présenter ses idées. Leurs voix sont appréciées et comprises en toute égalité.

En fait, il s’agit de l’expérience concrète, des pratiques culturelles et des connaissances que les personnes apportent au processus de recherche et aux valeurs, en abordant et, idéalement, en supprimant la hiérarchie, le déséquilibre du pouvoir et l’« altérité » en général. Les gens ne rentrent pas tous dans le même moule. Par exemple, de nombreux patients partenaires se considèrent également comme des chercheurs et vice versa. Nous avons cherché à adopter une approche intersectionnelle pour représenter la diversité afin de montrer que les personnes sont une combinaison de tous les éléments de leur être.

Q : Nous avons beaucoup parlé de l’application des connaissances. Comment la démontre-t-on ici?

Le pissenlit est une plante très résistante qui voyage bien, se propageant par ses graines qui s’envolent pour trouver une terre fertile. Nous l’avons inclus dans l’image pour montrer que la recherche peut aussi se propager à partir d’une petite idée et que, selon le milieu dans lequel elle se trouve, elle se développe de manière différente. Les fortes racines du pissenlit sont censées représenter la manière dont la recherche et la science sont profondément ancrées dans les faits.

Les deux enfants du dessin évoquent la transmission des connaissances entre les générations, l’importance de créer des conditions propices à une participation significative des parents et des personnes qui s’occupent des enfants, ainsi que l’élimination du cloisonnement associé à l’âge, à l’expertise et aux connaissances.

L’image souligne également l’importance d’humaniser les personnes dans l’espace de la recherche et de tenir compte des obstacles professionnels liés au choix d’avoir des enfants, en considérant l’importance de la prestation de soins comme faisant également partie de la recherche.

Q : La nature tient un rôle clé à d’autres égards; pouvez-vous les expliquer?

R : Les plantes nous situent sur le plan géographique : la branche de cèdre sur la côte ouest, la branche de cerisier sur la côte est et le fil d’or dans l’Arctique.

Les médicaments autochtones font partie intégrante de la sécurité culturelle et invitent les Autochtones dans un espace. Le cèdre est un médicament sacré qui a des propriétés purificatrices.

De plus, l’inclusion de ces éléments dans l’image invite à poser des questions : Où voulons-nous que la recherche soit ancrée? À qui profite cette recherche? À qui devons-nous rendre des comptes? Comment y participe-t-on?

Q : Enfin, quel est le lien entre le globe et l’incidence de la recherche?

Le globe symbolise la mise en œuvre du travail et l’inclusion de différentes voix sur le plan local, régional et mondial. Il représente également les connaissances et l’expertise des immigrants qui offrent différentes façons de comprendre la science et la recherche, ainsi que la manière à laquelle elles sont intégrées dans la recherche sur l’Île de la Tortue. Il s’agit d’un flux constant de connaissances qui entrent et sortent, et qui ont une incidence à l’échelle mondiale.

Les deux arcs représentent l’effet d’entraînement de la recherche, qui commence par quelque chose de petit qui, ensuite, se met à évoluer. On y voit également une boucle de rétroaction : la recherche est diffusée dans le monde et revient sous une forme différente pour continuer à alimenter et à transformer le processus.

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First full draft version of the National Oral Health Research Strategy / La première version complète de la Stratégie nationale de recherche sur la santé buccodentaire

Le français suit / French follows

Feedback was collected on the research themes and priorities from the community to be reviewed by the Steering Committee. Following this, writing teams for each of the themes convened and developed the first draft document of the NOHRS. This is a draft document with visuals in the process of development. We are now in the second phase of collecting feedback from the wider community on this document until April 5th via the survey below. If you would like to request the document in a different format (e.g., Microsoft Word Doc), please email CIHR-IMHA via IMHA-IALA@cihr-irsc.gc.ca.

First full draft version of the National Oral Health Research Strategy

Survey: https://ubc.ca1.qualtrics.com/jfe/form/SV_bjGewKjhABRlMNM

——

Lors d’une première ronde de consultations, des commentaires sur les priorités et les thèmes de recherche ont été recueillis auprès de la communauté pour examen par le comité directeur. Des équipes de rédaction, organisées par thème, ont alors entamé l’élaboration d’une version préliminaire de la Stratégie, qui comprend des éléments visuels en cours de création. Une deuxième ronde de consultations vient d’être lancée afin de prendre le pouls de la communauté à cet égard. Les personnes intéressées sont invitées à répondre au sondage ci-dessous d’ici au 5 avril. Si vous souhaitez obtenir le document dans un autre format (par exemple dans un fichier Microsoft Word), veuillez en faire part à l’IALA des IRSC à IMHA-IALA@cihr-irsc.gc.ca.

La première version complète de la Stratégie nationale de recherche sur la santé buccodentaire

Le sondage : https://ubc.ca1.qualtrics.com/jfe/form/SV_bjGewKjhABRlMNM

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Directrice scientifique associée ou directeur scientifique associé – description de travail

En anglais: https://ubc.wd10.myworkdayjobs.com/en-US/ubcstaffjobs/job/Associate-Scientific-Director_JR14954

Temps plein

Personnel – non syndiqué

Catégorie du poste

M&P – AAPS

 

Profil du poste

Salarié AAPS – Recherche et facilitation, niveau D

 

Titre du poste

Directrice scientifique associée ou directeur scientifique associé

 

Département

Gestion administrative | Institut de l’appareil locomoteur et de l’arthrite | Faculté de médecine

 

Fourchette salariale

7 933,42 $ – 12 395,83 $ CA par mois

 

La fourchette salariale est l’écart entre le salaire de base minimum et maximum pour un poste donné. Le point médian de la fourchette se trouve environ à mi-chemin entre le salaire minimum et maximum, et il représente le salaire d’un employé possédant la totalité des connaissances, des aptitudes et de l’expérience nécessaires pour le poste. Habituellement, le salaire des employés au moment de leur embauche, de leur mutation ou de leur promotion se situe entre le minimum et le point médian de la fourchette salariale d’un poste donné.

Date de fin de l’avis

8 novembre 2023

 

Remarque : Les candidatures seront acceptées jusqu’à 23 h 59 la veille de la date de fin de l’avis indiquée ci-dessus.

Date de fin de l’emploi

14 novembre 2024

Le poste à pourvoir se trouve dans un établissement de soins de santé. Par conséquent, le candidat retenu devra fournir une preuve de vaccination complète contre la COVID-19 avant la date de début, conformément aux exigences des autorités sanitaires provinciales.

À l’Université de la Colombie-Britannique, nous estimons que la création et le maintien d’un effectif diversifié sont essentiels pour atteindre l’excellence en matière de recherche, d’innovation et d’apprentissage pour la totalité de la faculté, du personnel et des étudiants. Notre engagement envers l’équité en emploi contribue à offrir un milieu inclusif et équitable, à créer un milieu de travail caractérisé par une riche diversité et à établir les conditions nécessaires à une carrière enrichissante.

Résumé du poste

L’Institut de l’appareil locomoteur et de l’arthrite (IALA) des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), dont les bureaux sont situés à l’Université de la Colombie-Britannique, est l’un des treize instituts virtuels des IRSC. L’IALA des IRSC a pour mandat de soutenir la recherche éthique et porteuse qui vise à favoriser la vie active, la mobilité et la santé buccodentaire, ainsi qu’à s’attaquer à tout un éventail d’affections touchant les os, les articulations, les muscles, les tissus conjonctifs, la peau et les dents. Une bonne santé musculosquelettique est indispensable à l’activité physique nécessaire au maintien de la mobilité, de la productivité et de la santé et du bien-être globaux. Les maladies musculosquelettiques courantes comme l’arthrite et l’ostéoporose peuvent limiter la mobilité et l’activité physique, ce qui entraîne le cercle vicieux de la sédentarité, de la détérioration de la santé et de la perte de productivité. Pareillement, les affections buccodentaires et cutanées peuvent nuire à la santé et au bien-être en général.

En collaboration avec la directrice scientifique ou le directeur scientifique, la personne titulaire du poste détermine la vision et la stratégie de l’IALA grâce à l’élaboration et à la mise en œuvre de programmes visant à améliorer la recherche qui cadrent avec le mandat de l’Institut. La directrice scientifique associée ou le directeur scientifique associé apporte principalement son soutien à la directrice scientifique ou au directeur scientifique afin d’aider cette personne à favoriser et à promouvoir les initiatives stratégiques de l’Institut. La personne titulaire du poste travaille directement avec le personnel de l’Institut et des IRSC, des cadres supérieurs du gouvernement fédéral et provincial, des chercheurs et des stagiaires canadiens et étrangers, des cadres supérieurs d’autres instituts des IRSC et des intervenants de l’Institut afin de concevoir, d’élaborer, de mettre en œuvre et d’évaluer des programmes et des projets afin de veiller à ce que l’Institut atteigne ses buts et ses objectifs. La personne titulaire du poste assure également la liaison entre l’Institut et les partenaires et intervenants externes dans l’objectif d’établir et de maintenir de bonnes relations de travail avec une multitude d’intervenants, tant au sein de l’Institut et de l’Université de la Colombie-Britannique, qu’à l’échelle nationale et internationale.

La personne titulaire du poste assure la liaison avec les directeurs scientifiques, les directeurs adjoints et d’autres représentants des IRSC afin de promouvoir une approche cohérente au sein de l’organisation, et il formule des conseils d’expert sur la détermination, la conception et la mise en œuvre des projets.

Position hiérarchique

La directrice scientifique associée ou le directeur scientifique associé relève directement de la directrice scientifique ou du directeur scientifique et en tant que membre clé de l’équipe de l’Institut, travaille en collaboration avec l’administrateur responsable des opérations de l’Institut, l’analyste des projets et des initiatives, l’agent responsable des activités et des projets, et d’autres membres du personnel des IRSC travaillant au bureau national des IRSC qui se trouve à Ottawa.

La personne titulaire du poste représente la directrice scientifique ou le directeur scientifique ou agit en son nom au besoin.

Tâches

Les principaux domaines de responsabilité comprennent notamment les tâches énoncées suivantes :

Diriger, à l’échelle nationale, le développement, la planification, la coordination et l’évaluation de la recherche des différentes initiatives de l’Institut, y compris la santé buccodentaire, la santé numérique et l’activité physique.

Établir des relations avec des partenaires externes, y compris gérer un portefeuille pour les ententes de partenariat. À cette fin, contribuer à élaborer et à mettre en œuvre des stratégies visant à obtenir le soutien financier de nouveaux partenaires, et déterminer, enrichir, cultiver, utiliser et gérer ces relations.

Élaborer et réaliser, en étroite collaboration avec une vaste gamme de chercheurs et d’autres intervenants issus des secteurs public, privé et bénévole de la santé au Canada, un programme structuré de processus interactifs de planification, de coordination et d’évaluation de la recherche. Les consultations, conférences et ateliers tenus à cette fin permettront d’établir les priorités, d’élaborer des protocoles d’accord et des demandes de propositions, en plus d’améliorer la capacité en matière de recherche en santé novatrice et interdisciplinaire à l’échelle du Canada.

Gérer le budget des initiatives stratégiques de l’Institut (fonds de l’IALA et de partenaires) et surveiller le budget de fonctionnement et de développement annuel de l’Institut (subvention d’appui à l’Institut).

Représenter l’Institut au sein de différents groupes d’intervenants au Canada; assurer la liaison entre des groupes externes et des comités.

Promouvoir le travail de l’Institut à des réunions et conférences d’envergure nationale et mondiale.

Favoriser et soutenir des relations de collaboration efficaces avec des réseaux d’experts cadrant avec les priorités stratégiques de l’IALA.

Diriger l’élaboration du plan stratégique de l’IALA pour établir l’orientation de la recherche et veiller à ce que les activités de l’Institut respectent ce plan.

Diriger, concevoir et superviser les fonctions d’application des connaissances de l’Institut. Notamment, créer la stratégie d’application des connaissances de l’Institut; assurer l’élaboration, la mise en œuvre et l’évaluation des initiatives d’application des connaissances.

Diriger, élaborer et appliquer les programmes de formation des stagiaires, les partenariats et les stratégies de communication.

Superviser les fonctions de communication internes et externes de l’Institut (c.-à-d. plan des communications de l’institut, notes d’information ministérielles, plans opérationnels et stratégiques, rapports annuels, contenu du bulletin d’information et liaison avec l’équipe des affaires publiques des IRSC).

Assurer l’élaboration, la mise en œuvre et l’évaluation des initiatives stratégiques de l’Institut.

Superviser l’évaluation par les pairs et l’évaluation de la pertinence pour les bourses de l’Institut.

Superviser la collecte et l’analyse de données, l’élaboration des cadres de gestion du rendement et l’évaluation des projets et des initiatives.

Superviser les activités se rapportant au conseil consultatif de l’IALA (CCI). Notamment, collaborer avec des membres canadiens et étrangers du CCI en ce qui a trait à des activités ou à des projets spéciaux; assurer la liaison avec d’éventuels candidats canadiens et étrangers souhaitant travailler au sein du CCI; donner son avis sur de nouveaux membres du CCI; superviser l’orientation des nouveaux membres du CCI.

Superviser les activités se rapportant au comité des ambassadeurs de la recherche axée sur le patient, ainsi que la stratégie de mobilisation des patients et la sensibilisation.

Assurer la gestion globale des dossiers de l’Institut, y compris les documents et les communications conformément à la Loi sur l’accès à l’information du gouvernement fédéral.

Représenter l’Institut lors des réunions mensuelles des IRSC à Ottawa, participer à la prise de décisions en ce qui concerne les politiques de financement et les pratiques, donner son avis sur les répercussions des politiques de l’Institut.

Travailler avec le personnel de l’administration centrale des IRSC afin de maintenir une relation de travail solide, dynamique, efficace et efficiente entre l’Institut et les membres du personnel de l’administration centrale des IRSC qui sont responsables de la prestation finale d’une grande partie du programme de l’Institut.

Travailler avec le personnel des finances du bureau de l’IALA des IRSC situé à l’Université de la Colombie-Britannique pour assurer le respect des obligations contractuelles et autres de l’Institut.

Établir le rôle et la portée des responsabilités du personnel de l’Institut, et superviser le processus d’évaluation annuelle du rendement du personnel de l’Institut.

Effectuer d’autres tâches connexes au besoin.

Conséquences des erreurs et des décisions

Les décisions inappropriées peuvent porter atteinte à la réputation de l’Institut, de l’administration centrale des IRSC et de l’Université de la Colombie-Britannique à titre d’établissement d’accueil de l’IALA, et nuire à la capacité de l’Institut à s’acquitter de son mandat.

Supervision reçue

La personne titulaire du poste effectue son travail en toute latitude. Son travail est évalué en fonction de l’atteinte des objectifs à long terme et du respect de son mandat.

Supervision donnée

Gérer directement l’analyste des projets et des initiatives, ainsi que l’agent responsable des activités et des projets, et gérer indirectement l’administrateur responsable des opérations de l’Institut.

Aptitudes minimales

Pour diriger un projet de recherche, la personne titulaire du poste doit posséder un diplôme d’études supérieures ou un titre professionnel équivalent, au moins cinq ans d’expérience connexe, y compris dans un domaine de spécialisation, ou une combinaison équivalente d’études et d’expérience. Autrement, la personne titulaire du poste doit posséder un diplôme de premier cycle dans une discipline pertinente et au moins sept ans d’expérience connexe ou une combinaison équivalente d’études et d’expérience.

– La personne titulaire du poste doit avoir la volonté de respecter divers points de vue, y compris ceux qui entrent en contradiction avec les siens.

– La personne titulaire du poste doit démontrer son engagement à améliorer ses propres connaissances et habiletés en matière d’équité, de diversité et d’inclusion.

Aptitudes privilégiées

Un doctorat en recherche ou dans un domaine de santé connexe est préférable. Expérience de recherche connexe, y compris en gestion de projet au sein de réseaux de recherche liés à la santé ou de programmes de recherche financés. Expérience dans la mise en place et l’établissement de partenariats solides, d’alliances stratégiques ou de liens avec l’un ou plusieurs des secteurs suivants : gouvernements fédéral et provinciaux, industrie, milieu universitaire et secteur sans but lucratif. Expérience professionnelle dans la promotion et la facilitation de réunions axées sur la collaboration avec des chercheurs et des intervenants. Expérience dans la direction et la mise en œuvre de plans stratégiques et opérationnels, et dans l’élaboration de cadres, de politiques, de lignes directrices ou de normes. La candidate ou le candidat doit posséder des compétences exceptionnelles en communication écrite et orale, y compris de l’expérience dans la préparation de publications et de rapports liés à la santé. Capacité d’analyser les besoins, et de planifier, structurer, gérer, surveiller, compléter et évaluer les projets tout en respectant les ressources attribuées et les délais impartis. Capacité d’analyser et de restructurer le déroulement du travail et les processus opérationnels pour en améliorer l’efficience et l’efficacité. Capacité de favoriser le perfectionnement et l’apprentissage à long terme du personnel grâce à l’encadrement, à la gestion du rendement et au mentorat. La maîtrise des deux langues officielles est un atout. D’excellentes habiletés en relations interpersonnelles, en organisation, en présentation, en synthèse et en recherche sont essentielles. Certains déplacements seront nécessaires.

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